AIMER DE TRAVERS PEUT MENER EN ENFER
par Iena31

 

Chapitre 1

Appartement de Bosco

Bosco est allongé sur son lit, Faith dort à ces cotes. Il regarde l'heure, encore une demi-heure avant que le réveille ne se mette en route. Il se lève et remonte le drap sur Faith qui n'a pas réagit. Il la regarde un instant, puis sort de la chambre et va prendre un café.

Appartement de Cruz et Santiago, une heure plus tard

Ils sont tous les deux à la cuisine entrains de déjeuner, Manny lit le journal et d'un coup il s'arrête sur un article.

Manny : Eh ! Ritza, t'as lu ça ?
Cruz : Quoi ? Tu sais j'ai lu beaucoup de chose dans le journal ce matin, si t'étais un peu plus précis….
Manny : (lui coupe la parole) Il y a eut un casse dans une armurerie, ils ont volé un bon stock d'armée et de munissions, tu crois que c'est un gang du coin.

Cruz se lève et passe derrière Manny, elle se penche sur le journal pour lire l'article

Cruz : Franchement je pense pas, les petits branleurs des gangs locaux n'en auraient pas pris autant. Je me demande qui va être mis sur cette enquête, c'est notre secteur en plus.
Manny : Ils ne peuvent que te mettre toi, t'es la meilleure !!!
Cruz : Ouais, c'est ça, qu'est ce que tu as à me demander, une petite soirée entre potes peut être ! !
Manny : Pas vraiment mais si tu en parles, Bosco m'avait proposé d'aller boire un verre ce soir.
Cruz : C'est bien ce que je disait, bon allait faut qu'on y aillent.

Poste 55

Comme Manny l'avait prédis Cruz fut mit sur l'affaire du cambriolage de l'armurerie. Ils étaient tous les quatre dans le bureau de Cruz entrain d'étudier le rapport des officiers qui avait été envoyé sur les lieux cette nuit.

Cruz : Alors, quelqu'un a une idée ?
Les trois autres : ________
Cruz : Bon, on va reprendre du début, Faith, allons voir là-bas.

Armurerie sur la 143 éme

Cruz interroge le propriétaire avec Faith.

Faith : Alors, vous n'avez rien remarqué de particulier chez eux, je sais pas moi, un tatouage, un accent, quelque chose ?
Le propriétaire : Maintenant que vous le dite, ils n'avaient pas l'accent d'ici, enfin je veut dire pas l'accent américain.
Faith : Bon alors d'où, plutôt mexicain, canadien ?
Le propriétaire : Non rien de tous ça, je dirais anglais.
Faith : Anglais, alors ?
Le propriétaire : Non, ça ressemblais à l'accent anglais mais c'était pas vraiment anglais. Vous savait ma nièce a été en Angleterre pour ces étude et quand elle est revenu, elle avait pris leurs accent. Eh ! Là c'est pas tout à fait le même. Et à ma nièce son accent anglais ne lui allait pas du tout.
Cruz : Ouais ben, votre nièce, on s'en fous, c'était ou pas un accent anglais.
Le propriétaire : Non ! Irlandais ouais c'est ça irlandais !!
Faith : Bon, irlandais, vous êtes sur ?
Le propriétaire : Oui, et maintenant ç'a me revient, il y en a un qui a parler de la vrais bière qu'ils pourraient boire à Belfast en rentrant au pays.
Cruz ; Ben vous auriez du commencer par là, au lieu de nous saoullez avec vos histoire d'accents.


Poste 55

Cruz entre dans son bureau suivit de Faith.

Cruz : Alors, vous avez trouvé quelque chose de votre côté ?
Bosco : En tous cas avec toute ces armées, ils ont de quoi faire. Ils ont pris de belle chose mais à mon avis c'est pas pour revendre parce qu'il y a des chose difficile à fourguer.
Cruz : Ils s'emblerait que se soit des irlandais qui aurait fait le coup.
Santiago : Des irlandais, ici, qu'est ce qu'ils feraient là !!!
Bosco : On t'a jamais dit que l'Amérique, en particulier les américains d'origine irlandaise, était une grande banque pour les extrémistes irlandais.
Santiago : Tu m'épates là, dit donc tu en sais des choses.
Bosco : Je me cultive des fois.
Faith : Tu parles, il a vue un documentaire sur le sujet, il y a deux jours, Emilie avait un devoir dessus.
Bosco : Ouais, mais c'est bon, j'ai retenu des choses quand même
Cruz : Allez Bosco on te chari ! Bon, en revanche, il va valoir ce renseigner un peu plus sur le sujet. On garde la piste d'un acte isolé, ils pourraient aussi simplement préparer un casse. Mais la piste des extrémistes n'est pas à oublier. Allez, au boulot !!!!

Ils passèrent l'après-midi, à faire des recherches sur les deux pistes, ils terminèrent vers 22h00. Faith rentra chez elle, elle avait les enfants ce soir et seule Emilie était au courant de sa relation avec Bosco. Elle ne voulait pas le dire pour l'instant à Charlie. Cruz aussi rentra. Santiago et Bosco allèrent dans un bar.

Dans le Bar

Bosco : Drôle d'histoire ce casse quand même.
Santiago : Ouais, on en sera plus quand on aura avancé.
Bosco : Si on arrive à avancé !!!
Santiago : Bon allez, dit moi pourquoi tu voulais qu'on prenne un verre ?
Bosco : Comme ça, juste histoire de boire un coup.
Santiago : Te fous pas de ma gueule si c'était que pour boire un verre on aurait pu le faire chez moi, alors dit moi pourquoi tu voulait qu'on se voie que tous les deux.
Bosco : Je me pose des questions.
Santiago : Au sujet de ?
Bosco : Faith !!!

Chapitre 2

Dans le Bar

Santiago : Quoi, Faith ?
Bosco : J'ai peur qu'elle me quitte.
Santiago : Pourquoi tu penses ça. Elle t'aime ça se voit.
Bosco : Fred est revenu la voir et lui a demandé de lui redonner une chance. Au nom, au nom des gosse. Contre les gosse qu'est ce que je peux faire !
Santiago : C'est sur pour une mère, ces enfants passeront toujours avant tous.
Bosco : Tu m'aides pas là Manny, qu'est ce que je peux faire ?
Santiago : Le seul conseil que je peux te donner c'est de lui prouver que tu l'aimes et après lui laisser prendre sa décision.

Dans une chambre d'hôtel de New York

Sean Mc Gregor était allonge sur un lit, ses hommes étaient dans une pièce à cote. Il se revoyait, enfant assis a la table familiale entrain de prendre le repas. D'un coup des officiers des B-Special (police Irlandaise dirigé par l'Angleterre donc protestante donc anti-catholique)
défoncèrent la porte et attrapèrent son père puis le traînèrent dehors. Ils le firent mettre à genoux, et l'exécutèrent en lui dissent que c'était un traite qui travaillais pour l'IRA. Sean se revoit devant le corps de son père jurent qu'il ferait payer sa à tous les protestants qui était dans son pays dans son Irlande et que pour ça le seul moyen était d'entré dans l'IRA. Il ferait tous pour que l'Irlande du Nord soit une Irlande libre. Il se releva d'un bon et frotta son visage pour effacer toutes ses images qui le hanté. Il rejoignit ses hommes

Sean : Bon c'est pour dans trois jours, la délégation pour la paix se réunit. Il y aura les représentants des unionistes (Partis politique Protestant d'Irlande du Nord) c'est eux nos cibles. Patrick, tu rechercheras les plans des immeubles alentours.

Appartement de Bosco, trois heures plus tard

Ca fessait une heure que Bosco était rentré chez lui lorsqu'on frappa à la porte, il alla ouvrit et vu Faith.

Bosco : Ah ! C'est toi !
Faith : Ma visite te fait plaisir à ce que je vois.
Bosco : Non, c'est pas ça mais je croyais que tu pouvais pas ce soir à cause de tes enfants.
Faith : Ils dorment pour l'instant, et j'ai besoin de te parler.
Bosco : entre alors.

Ils font trois pas dans l'appartement et reste debout non loin de la porte. Ils savent tous les deux que cette conversation va être décisive. Bosco la fixe droit dans les yeux.

Faith : Bon je vais pas y allait par quatre chemins. Fred est venu manger ce soir et nous avons discuté ( je vois sa tête se décompose à fur et à mesure que je lui parle. Oh, mon dieu je lui fais t'en de mal) Enfin, voilà, j'ai décidé de lui donner une autre chance.
Bosco : (qui commence à s'énerver) Quoi !!
Faith : Tu comprend c'est pour les enfants, je leurs doit d'essayer encore de garder une famille unis.
Bosco : Eh nous, Faith, nous ont à pas le droit à une chance.
Faith : Bosco ne me rend pas les choses plus compliquées qu'elles ne sont.

Bosco se rappela des paroles de Manny « Le seul conseil que je peux te donner c'est de lui prouver que tu l'aimes ». Alors, il se rapproche de Faith et l'embrasse. Faith se recule d'un pas rapide et le gifle.

Faith : T'es vraiment trop con.

Faith se dirige vers la porte et Bosco la rattrape par le bras, il la serre très fort sans s'en rendre compte.

Bosco : Parts pas, me laisse pas. Laisse moi une chance s'il te plait.
Faith : Je t'es expliqué, Bosco, maintenant laisse moi partir ! (Bosco serre un peu plus sa main sur le bras de Faith) Lâche moi, tu me fais mal !!

Bosco n'entendais plus Faith, il avait qu'un souhait la retenir près de lui.

Bosco : Part pas, Fred peut rien t'apporter vous avez déjà essayez

Faith commença à se débattre tous en lui demandant de la laissait partir. Bosco la retenais par désespoir, il ne pouvait se résoudre à la laisser partir.

Bosco : Il faut pas qu'elle parte qu'est ce que je vais devenir sans elle. Je lui tient le bras, juste pour la retenir, je la sent se débattre dans mes bras. J'ai une sensations étrange dans mon estomac, de la colère de la rage tous d'un coup je la sent m'envahir. Cette sensation est partout dans mon corps dans mes muscles, je ne contrôle plus rien.

Faith lui griffe la main pour essayait encore une fois de le faire lâcher prise. Il se met a saignait, sur le choc de la douleur Bosco lâche Faith et commence à levé sa main droite qui vient s'encrasser sur la joue de Faith qui en tombe par terre.

Faith : Qu'est ce qui vient de se passer, je comprends pas. On ne s'est pas vraiment engueuler, non, c'était plutôt une conversation pleine de désespoir. Il est debout, aussi étonnait que moi de son geste, aussi perdu. Mais qu'est ce qui nous a pris ! Comment on à pu en arriver là ! Je lui en veux même pas pour cette gifle.

Bosco : Oh ! Mon dieu, qu'est ce que j'ai fais. Je viens de frapper la femme que j'aime. Mais qu'est ce qui m'a pris !!! Elle est parterre et me regarde, pourquoi ne me hait-elle pas. Comment j'ai pu en arrive la. Cette situation met insupportable, il faut que je parte.

Bosco n'ose pas regarder Faith, il attrape sa veste et ses clefs de voiture et sort de l'appartement sans même fermer la porte. Faith reste sans bouger un petit moment, puis se relève et sort à son tour de l'appartement. Elle tire la porte mais ne la ferme pas car elle n'a pas les clefs. Elle rentre chez elle.

Chapitre 3

Faith était rentrée chez elle, elle avait pas fait de bruit pour éviter de réveiller ses enfants. Elle lésa un mot à Emilie pour qu'elle emmène Charly à l'école à sa place. Elle ne voulait pas que ses enfants ne la voyant comme ça. Ensuite, elle alla dans la salle de bain, un hématome sur sa pommette commençait à apparaître. Des larmes lui coulaient, elle n'avait pas mal, elle souffrait surtout en pensant comment Bosco devait s'en vouloir. Elle le connaissait, il ne supporter déjà pas qu'un homme tape une femme alors lui en tant que bourreau il ne le supportera encore moins.

Faith se réveilla le lendemain vers 9h, ses enfants étaient déjà partis. Elle commence a se préparer et après sa douche se met face au miroir pour ce coiffer. Elle avait un énorme bleu sur la joue qui virer un peu au violet et qui était enflé. Elle y met un peu de fond de teint pour estomper la marque, mais rien n'y fait. Alors elle le retire et laisse ses cheveux détachés pour cache sa joue.

Poste 55

Faith entra dans le bureau de Cruz, celle-ci lui parla sans même la regarder.

Cruz : Bon, je me suis renseigné sur les irlandais, il y a une délégation pour la paix dans deux jours. Ca risque d'être là leurs coups.

Faith écoute Cruz en essayant de paraître le plus normal possible, sans réfléchir elle passe sa main dans ses cheveux et les mets derrière son oreille ce qui dégage sa joue. A ce moment là, Cruz lève les yeux vers elle et reste sans bouger un moment.

Cruz : Qu'est ce que tu as fait, tu t'es pris un coup ?
Faith : Non, je me suis cognait dans une porte ce matin.
Cruz : (En s'approchant de Faith) Arrête de me raconter des salades, je suis flics et des femmes qui se prenaient des coups en affirment avoir mangées une porte j'en ai vue, alors qui t'a fait ça ?
Faith : Mais personne, je t'ais dit que je me suis cognais.

Santiago entra à ce moment là dans le bureau.

Santiago : Qui s'est cognais ?
Cruz : Soit dits-en Faith ! Mais regarde sa joue, toi qui est flics qu'est ce que tu en panse ?
Faith : Ca va Cruz, je t'ai dit que je me suis connais !
Santiago : T'as du te connais dans un truc vachement fort et (en regardant Faith de plus prêt) s'est marrant mais on dirait même que ton objet avait des doigts.
Cruz : Allez, Faith, qui s'est ? Ton mari ?
Faith : Non, s'est pas Fred.

Swersky entra dans le bureau après avoir frapper, Faith se retourna pour pas qu'il la voit. Elle en avait assez avec les questions de Santiago et Cruz.

Cruz : Lieutenant, si vous voulez avoir des nouvelles de l'affaire, il n'y a rien de plus que se que je vous ais dit il y a un quart d'heure.
Swersky : Non, c'est pas pour ça que je viens. Boscorelli a appelé, il ne viendra pas aujourd'hui il est malade.

Swersky ressortit du bureau et Cruz se mit en face de Faith, Santiago été a cotes d'elles.

Cruz : Bosco est malade, tu me l'a pas dit ça en arrivant pourtant tu l'as vue hier soir, non ?
Faith : Non, enfin oui et puis c'est quoi cet interrogatoire !
Cruz : C'est Bosco ? C'est ça ? C'est pour ça qu'il n'est pas là !
Faith : ______ (baissa les yeux et d'une voix faible) Non.
Santiago : De toute façon ou c'est ton mari ou c'est Bosco. Si tu t'était fait agresser du le dirait alors ?
Faith : (Toujours d'une voix très faible) Il ne l'a pas fait exprès, il ne voulait pas …
Cruz : C'est ça, ouais !!!
Santiago : Mais, qui ?
Faith : (Elle avait les larmes qui commence à couler et la voix qui tremble) Bosco !!!
Cruz : Bosco ?!?

Chapitre 4

Cruz, Santiago et Faith étaient dans un café. Faith leur raconta comment c'est arrivé.

Faith : Et puis après il est parti, il s'en voulait tellement, je l'ais vue. J'ai essayait de l'appeler chez lui et sur son portable mais aucune réponse. Je vous avoue que je commence a m'inquiète, il doit être si mal.
Cruz : Et alors c'est son problème, tu ne vas pas lui chercher des excuses, en plus !!!
Faith : Je m'inquiète pour lui, je crois que je vais allez le chercher. En plus avec tous ce qu'il a vécu avec son père, il doit être complètement perdu.
Cruz : Tu vas pas le chercher, on a autres choses à faire. On doit interroger un ex-décidant de l'IRA qui fait parti du Sinn Féin le parti politique de l'IRA.
Faith : Je peux pas le laisser comme ça, c'est pas possible !!!
Santiago : Ecoute, je vais aller le chercher moi, toi va avec Maritza. Ne t'inquiète pas je vais le trouvais. (Il se retourna vers Cruz) Ca te va comme compromis.
Cruz : Si tu as du temps à perdre pour lui, c'est ton problème.
Faith : Bon, je vais me passer un coup d'eau sur le visage et après je viens avec toi Cruz. (Elle commença à partir et se retourna) Merci, Santiago.
Santiago : Y a pas de quoi ! (Apres le départ de Faith, il attrapa la main de Cruz) Pourquoi tu réagis comme ça pour Bosco ?
Cruz : T'as vu ce qu'il lui a fait ! Et vous vous trouvé ça presque normale, je suis désole mais non, c'est pas normal, un mec qui tape une femme.
Santiago : Je dis pas que c'est normal, mais Bosco est aussi mon ami et le connaissant il doit avoir besoin d'aide dans un moment pareil.

Faith arriva et ils partirent du café.

Dans un hôtel de New York

Cruz : Sergent Cruz et officier Yokas, on voudrait voir Mr MC BRIDE
Réceptionniste : Chambre 217, deuxième étage, aille droite.

Cruz frappa à la porte

Cruz : Mr Mc Braille
Mc Bride : Oui, c'est à quel sujet.
Cruz : Sergent Cruz et officier Yokas, police de New York. On voudrait vous parler au sujet d'un casse dans une armurerie.
Mc Bride : Je ne vois pas le rapport avec moi.
Cruz : Vous voulez bien nous laisser entré pour qu'on puisse en parler.
Mc Bride : Je vous en prie, entré, ……..assaillez vous, ……..vous voulez quelque chose à boire.
Cruz et Faith : Non merci.
Cruz : Bon au sujet de l'armurerie, il semblerait que les coupables soient des décidant de l'IRA et qu'ils envisageraient de faire un coup pendant les débats.
Mc Bride : Et qu'est ce que je vient faire là dedans.
Faith : On nous a dit que vous fessiez parti de l'IRA et que vous étiez très influant.
Mc Bride : Comme vous l'avez dit c'est du passé maintenant je lutte pour la paix.
Cruz : Peut être mais des coups pareil vous en avez déjà organiser ?
Mc Bride : Oui, ça met arrivé.
Faith : Donc, vous savez comment ils fonctionnent et vous pourriez nous expliquer comment ils vont agir.
Mc Bride : Je peux toujours essayez si ça peut éviter de faire échouer les débats pour la paix.
Cruz : Bien, vous pouvez passer demain au poste 55.
Mc Bride : Très, bien si ça peut vraiment vous aidez et aider l'Irlande.
Cruz : Ouais, en fait moi je veux surtout éviter un carnage sur mon secteur.
Faith : Bon, a demain.

Elles sortirent e la chambre et retournèrent au poste.

Pendant ce temps là

Santiago avait tous les bars entre le poste et l'appartement de Bosco sans aucun résultat.
Il essaya de nouveau de l'appeler sur le portable et chez lui mais aucune réponse.
Alors il décida d'aller jusqu'au bar de la mère de Bosco.

Bar de Rose

Bosco était dans le bar de sa mère depuis des heures déjà, devant toujours la même bière qu'il n'avait pas touchée. Rose s'approche et s'assoit en face de lui.

Rose : qu'est ce que tu as Maurice ?
Bosco : Rien…….Tu trouve que je ressemble à mon père ?
Rose : Pourquoi cette question… Tu lui ressemble forcement un peu c'est ton père !

Santiago entra dans le bar à ce moment là, il s'approche de la table et salut Rose.

Santiago : Bonjour Mme Boscorelli, ça vous ennuis si je parle avec Bosco, en privé ?
Rose : Non, surtout si vous arrivez à lui remonter le moral. (Elle se lève et murmure à Santiago) Je comprends pas ce qu'il a.

Rose s'écarte et retourne au bar, Santiago s'assoit en face de Bosco. Quelques secondes plus tard Rose revient avec une bière et la pose devant Santiago.

Bosco : Ecoute Santiago, j'ai pas vraiment envi de parler alors tu diras à Cruz que je reviendrait travailler demain ou après demain.
Santiago : Le jour où tu pourras de nouveau te regarder en face, après ce que tu as fait.
Bosco : De quoi tu parles ?
Santiago : Te fatigues pas, Faith nous a tout raconter. (Le visage de Bosco commence à se décomposer, il devient pale) Je crois qu'on ferait bien d'en parler ensemble, ça te ferait du bien !
Bosco : Joue pas au psy avec moi, ok ! Je sais ce que j'ai fait, j'ai sais quel genre d'homme je suis.
Santiago : Ah, oui ! Et quel genre ?
Bosco : Le genre de gars que je déteste depuis des années, un mec qui est capable de taper sur la femme qu'il aime. Je suis comme mon père !!!! (Bosco avait les larmes aux yeux, des larmes de haine et de peur mêlées)
Santiago : Tu n'as rien à voir avec ces mecs là, n'y avec ton père, tu sais pourquoi ? ……Parce que contrairement à eux, toi, tu regrette et que ça te rend malade. Et d'après, Faith, la baffe que tu lui as donné était surtout un réflexe à la douleur plus qu'autre chose.
Bosco : Faith ! Ce n'est pas une excuse !!
Santiago : C'est pas ce que j'ai dit, mais Faith n'attend que tes excuses pour mettre fin à cette histoire. Elle t'a déjà pardonné de toute façon.

Un silence s'installa un petit moment, puis Santiago repris la parole.

Santiago : Allez, vient avec moi je t'emmène la voir, elle t'attend. (Santiago se lève sans attendre la réponse de Bosco, il se dirige vers Rose) Je vous doit combien pour la bière ?
Rose : Rien, offert par la maison… Maurice, ça va mieux ?
Santiago ; (Après avoir jeter un œil sur Bosco qui était debout à cote de la table) Ne vous inquiétait pas je m'occupe de lui, ça va s'arranger.
Rose : Merci, merci beaucoup.
Santiago : (En se dirigent vers la sortie suivit de Bosco) De rien.


Santiago et Bosco arrivent devant le poste du 55, Cruz et Faith était à l'entrée.
Faith s'avance vers Bosco alors que Santiago va rejoindre Cruz.

Cruz : Alors, tu l'as trouvé où ?
Santiago : Dans le bar de sa mère, il s'en veut vraiment, il est mal.
Cruz : Tu m'étonnes !!
Santiago ; Je te jure qu'il ne voulait pas, on en a parler et … (Cruz lui lança un regard noir) Enfin bon, tu vient, on rentre.
Cruz : Non, on reste là, on s'est jamais si la conversation dérape je veux être là.
Santiago : Ok, comme tu veux, mais j'ai confiance en Bosco.

Ils restèrent appuyé contre la voiture et observe la seine.
Faith se dirige vers Bosco dans un pas lent et un peu hésitant. Bosco baissa la tête en la voyant arrive près de lui.

Faith : Tu vas bien ?
Bosco : (Toujours en regardant le sol et d'une voix faible) Je suis désolé Faith, si tu savait comme je m'en veux.
Faith : Je sais Bosco, …… regarde moi !!! (Bosco la regarde droit d'en les yeux, elle sent qu'il veut dire quelque chose mais qu'il n'osent pas) Parle moi Bosco, dit moi ce que tu as sur le cœur, s'il te plait, parle.
Bosco : Pardon, pardon, je n'aurais jamais du faire ça….J'ai bien réfléchit avec tout ça, tu as raison de retourner avec Fred, pour les enfants ! Pour toi ! C'est se que tu as de mieux à faire, moi je t'apporterais rien de bon.
Faith : Tu crois vraiment ce que tu viens de dire ?
Bosco : Oui, ce sera beaucoup mieux ….. Pour nous deux !!!!
Faith : (Sentant les larmes monter) Si tu le dit !!

Faith se retourne et commence à partir.

Bosco : Je t'aime Faith, je t'aime

Bosco se rends compte qu'il vient de parler à voix haute et que Faith a entendu ses paroles, elle se fige, ils sont tous les deux immobile au milieu de la rue.

Chapitre 5


Faith se retourne et commence à partir.

Bosco : Je t'aime Faith, je t'aime

Bosco se rends compte qu'il vient de parler à voix haute et que Faith a entendu ses paroles, elle se fige, ils sont tous les deux immobile au milieu de la rue.

Faith sent les larmes lui monter aux yeux. Elle ne se retourne pas et continu son chemin. Bosco est totalement perdu. Cruz et Santiago avaient assisté à toute la scène.

Santiago : Faut que j'aille le voir, je peux pas le laisser comme ça !
Cruz : (Commençant à se diriger vers sa voiture) Fait comme tu veux !!
Santiago (La retenant par le bras) Ritza attend, je veux pas qu'on se dispute pour ça mais c'est mon ami je peux pas le laisser tomber, je suis sur que tu comprend.
Cruz : Honnêtement, non je comprends pas comment tu peux prendre la défense d'un mec qui a tapé sur sa femme.
Santiago : Si tu avais parlé avec Bosco et que tu avais vue à quel point il s'en veut, tu comprendrais que ce n'est pas un mec qui tape sa femme. C'est un gars qui a fait une connerie difficilement pardonnable et qui est totalement perdu parce qu'il ne peut se pardonner lui-même.
Cruz : (après un moment de silence, soupira) Tu as sen doute raison, je n'ai pas le droit de le juger sans savoir. Va avec lui et ramène le dormir à l'appart vaut mieux pas qu'il soit tous seul.
Santiago : Merci, merci pour lui et pour moi. Si on était pas devant le poste je crois que je t'embrasserais.
Cruz : Garde ça pour tous à l'heure à l'appart. Je vous attends.

Manny alla rejoindre Bosco au milieu de la rue et l'emmena boire un verre. Ils se sont installés dans un bar, Bosco a descendu énormément de bière et quelques verres de bourbon. Santiago s'est contenté d'une bière. Vers trois heures du mat, voyant l'état de Bosco, Santiago décide de le remmener. Bosco ne tenait pas debout tous seul. Santiago le mit dans la voiture et rentra chez Cruz. Il aida Bosco à monter les marches, Bosco s'appuya contre le mur pendant que Manny ouvrait la porte, il s'écroula par terre dans un vacarme incroyable. Cruz qui était sur le canapé, s'avança vers la porte.

Cruz : (A voie basse, s'adressant à Manny) Dans quel état il est, je croyait que vous deviez boire qu'un verre ;
Santiago : C'est ce que j'ai fait mais c'est déjà pas facile de lui faire entendre raison quand il est clair alors bourré je t'explique même pas. Tu peux m'aider à le mettre sur le canapé s'te plait.
Cruz : (se penchant sur Bosco en même temps que Manny) Allez, on rentre.
Bosco : (complètement ivre et à moitié dans le coltard) On se connaît mademoiselle, vous avez de très jolis yeux.
Cruz : (En déposant Bosco sur le canapé et regardant Santiago avec un petit sourire) Même bourré il s'est faire des compliments ça fait plaisir.
Santiago : Ouais, ben, j'aimerais bien qu'il se calme.
Cruz (toujours le sourire aux lèvres) T'est jaloux, …..(Voyant la tête de Santiago pas vraiment entretint de rire) Allez, on va le laissez cuver là pour cette nuits.

Ils partirent dans la chambre et se couchèrent l'un dans les bras de l'autre. Après quelques minutes.

Santiago : A quoi tu pense ?
Cruz : Bosco
Santiago : Quoi !?! Il te fait un compliment et ça y est tu craque complètement !!!!
Cruz : Non, rien à voir avec ta jalousie. C'est juste que je me demande où il a son arme.
Santiago : Pourquoi ? Il est bourré d'accord mais il n'est pas suicidaire.
Cruz : N'empêche qu'un mec bourré autant que lui avec une arme charger ça me fait peur.
Santiago : Il doit l'avoir au poste, il n'a pas travaillé hier.
Cruz : Bosco, ne pas avoir son arme ! Sûrement pas. Je vais aller voir.
Santiago : Je crois pas, non ! Pour que tu en profites pour le tripoter. (Il se redresse et fait un énorme sourire à Cruz)
Cruz : Je n'y avais pas pensé mais maintenant que tu le dis, je veux bien y aller à ta place.
Santiago : (En sortant de la chambre) C'est ça, ouais !!!

Santiago s'approcha de Bosco et constata en effet qu'il avait son arme sur lui. Il la lui prit et enleva le chargeur puis posa l'arme sur la table et garda le chargeur avec lui.

PENDANT CE TEMPS APPARTEMENT DE FAITH

Faith s'était tournée et retournée dans son lit pendant des heures, les paroles de Bosco la hanter. Elle s'avait qu'il n'avait pas dit ça à la légère. N'arrivant pas à dormir, elle se leva et commença à faire le ménage pour s'occuper. Après environ un quart d'heure, elle entendit du bruit derrière elle.

Faith : Emilie, tu dors pas !
Emilie : Tu m'a réveillais, mais qu'est ce que tu fais !
Faith : J'arrivais pas à dormir alors j'en profitais pour faire un peu de ménage. …..Tu veux que je te fasse un chocolat avant de te recoucher.
Emilie : Comme quand j'étais petite.
Faith : Tu te rappelles de ça
Emilie : Ouais, et je veux bien.

Faith commence à lui préparer un chocolat et Emilie s'assoit à la table de la cuisine.

Emilie : Alors, t'as décidé de redonner une chance à papa.
Faith : (D'une voie très faible) Oui
Emilie : Et Bosco (elle croisa le regard de sa mère) Ca contait pas vraiment !!
Faith : Oh si Emilie, si il conte enfin il contait vraiment.
Emilie : Alors pourquoi, tu arrête tous et tu retourne avec papa.
Faith : (les larmes aux yeux) Pour toi, pour Charlie, pour que vous aillaient une famille « normale ».
Emilie : Je peux te parler franchement, maman.
Faith : Va s'y
Emilie : Je préfère que vous divorciez et que tu sois heureuse plutôt que tu fasses semblant que tout va bien alors que tu préférerais être ailleurs. Reste avec Bosco, maman, si c'est vraiment lui que tu aimes.


LENDEMAIN POSTE DU 55 EME

Cruz était dans son bureau quand Faith entra.

Faith : (le sourire aux lèvres) T'as pas l'air d'avoir beaucoup dormi toi !!
Cruz : On se demande, pourquoi !
Faith : Tu sais ou est Bosco, il faudrait que je lui parle.
Cruz : Il est chez moi, avec Manny. Il a passé une sale soirée et une sale nuit comme nous.
Faith : Pardon.

On frappa à la porte à ce moment là.

Cruz : Entrez
Officier : Un certain Mc Bride est là, pour vous.
Cruz : Faite le entrer, (a l'attention de Faith) Enfin cette affaire va peut être avancer.
Mc Bride : Bonjour, Sergent…Officier.
Faith : Bonjours,…… un café ?
Mc Bride : Non merci…….En fait je vient vous voir parce qu'après votre visite, j'ai appelé quelque amis au pays.
Cruz : Des amis, hein ! Des membres de l'IRA… (Voyant la tête de Mc Bride changer)…Enfin bref, continuer.
Mc Bride : Ils semblerait que Sean Mc Gregor soit ici avec certain de ses gars.
Faith : Il a des gars à lui.
Mc Bride : Il a monté un groupe parallèle à l'IRA, il n'écoute pas vraiment leurs règles. L'IRA est d'accord pour le traiter de paix mais Mc Gregor et son groupe accepteront la paix que si tous les anglais quittent l'Irlande du Nord ce qui est impossible. Donc il est ici, (Il sort un petit papier de sa poche) Et voilà l'adresse d'un pub dans lequel ils se réunissent la journée.
Cruz : Comment être sure que vous nous montez pas un sale plan.
Mc Bride : Je veux la paix pour mon peuple et si Mc Gregor est dans les parage il risque de tous gâcher.
Cruz : Ok, Merci.

Mc Bride sorti du bureau, Cruz appela Santiago pour que lui et Bosco les rejoint directement devant le pub, il n'y avait pas de temps à perdre.


DEVANT LE PUB

Manny et Bosco étaient les premiers arrivés, ils étaient assis sur le capot de la voiture.

Santiago : Ca va aller ? Pas trop, la gueule de bois.
Bosco : Non, je me rappelle plus rien au sujet de cette nuit, j'ai pas ete trop lourds au moins.
Santiago : T'as juste draguer Maritza !
Bosco : C'est pas vrai, désoler, vieux.
Santiago : Pas grave…..Tiens les voilà.

Cruz et Faith les rejoignirent et Cruz leur expliqua la situation avant de donner ses ordres.

Cruz : Bon Manny, tu prends la porte de service, moi et Faith, on passe devant. Bosco tu prends la porte de derrière. Ce pub est petit mais d'après Mc Bride il y a trois sorties possibles. Allez tous en positions.
Faith : (En direction de bosco) Faudra que je te parle après c'est important.

Faith et Cruz étaient devant la porte d'entrée, elles observent et voyant qu'il y a trois gars dont un qui ressemble à Mc Gregor. Manny est devant la porte de service, il sort son arme et la charge. Il se met en position. Bosco lui aussi est à sa place. Il sort à son tour son arme et commence à la charger. Il s'aperçoit qu'il n'y a pas de chargeur à son arme et qu'il n'y a pas non plus de balle engager dans le chargeur. C'est a ce moment là, que Cruz donne l'ordre d'y allait. Bosco entra en se disant que de toute façon il y avait peu de chance pour qu'il se serve de son arme.

Un homme, apparemment Mc Gregor, frappa Cruz et s'enfui par devant, Santiago en attrapa un et l'attacha a un radiateur avant d'aller voir Cruz qui était toujours par terre.
Faith était entrain d'arrête le troisième homme dans une autre pièce, quand ce dernier sortit une arme. Il pointait son arme sur Faith et Faith en fit autant.

Faith : Allé, pose ton arme, il y a plein de flic, tu peux pas t'en sortir.
L'homme : Non, mais je peux peut être te descendre avant.

Bosco entra dans la pièce et pointa son arme sur l'homme qui menaçait Faith.

Bosco : Allez, pose ton arme. De toute façon, j'arriverais a te descendre avant que tu tire sure elle.

L'homme tourna sur le côté et dirigea son arme vers Bosco. Ce dernier commença a s'iniquité, un mec était entrain de le menacer et il ne pouvait pas se défendre parce que son arme n'était pas charger. Il essaya de revoir rapidement sa soirée de hier pour comprendre pourquoi son armé était vide mais en vain. Bosco avança d'un pas en se disant que s'il le prenait par surprise il pourrais peut être le désarmé. L'homme prit peur et appuya sur la détente.

Chapitre 6

DANS LE PUB


Manny était aux côtés de Cruz, le gars qu'il avait arrête été attaché aux radiateurs.

Manny : Ca va, t'as rien ?
Cruz : Non, ça va, j'ai juste un peu mal à la cheville, j'ai du la tordre en tombant. Tu en as eut un ?
Manny : Ouais, …..Yokas et Bosco, on du avoir l'autre donc il nous manquerais que Mc Gregor.
Cruz : C'est quand même le cerveau qui manque !

Ils entendent un coup de feu, Cruz et Santiago sursautent.

Cruz : Aide moi à me lever, qu'on aille voir.

Cruz et Santiago étaient entrain d'aller dans l'autre pièce quand ils entendirent un deuxième coup de feu. Ils accélèrent le pas, Cruz s'appuyait sur Santiago. Ils entrent dans la pièce et voient le troisième homme par terre avec une balle dans la jambe. Faith et Bosco étaient debout leurs armes à la main.

Cruz : Qu'est ce qui c'est passé ?
Faith : Il m'a menacée avec son arme alors Bosco est intervenu. Puis ce type a tiré vers Bosco et donc je lui est tiré dans la jambe.
Manny : (accroupi au près du gars) C'est pas grave mais faudrait qu'en même appeler une ambulance.
Cruz : Faith appelle s'te plait. Bon par contre une question Bosco pourquoi t'a pas tiré avant qu'il tire lui.
Bosco : (ayant l'air d'être sous le choc) Je sais pas pourquoi mais il manque mon chargeur.
Cruz : (Se retournant vers Santiago) Tu lui as pas rendu son chargeur !!
Santiago : Non, quand je me suis réveillait tu étais parti et Bosco avait son arme. Alors, j'ai cru que tu lui avais rendu avant de partir, je suis désolé.
Cruz : C'est bon, Manny, c'est pas le moment…….Bon, donne moi ton deuxième chargeur.
Santiago : Pourquoi faire ?
Cruz : Quand les inspecteurs vont venir voir se qui c'est passer ici, si Bosco leurs dit qu'il avait une armes pas chargée tu peux être sûr qu'il va prendre un max, alors donne moi ce chargeur !!!!

Santiago tend le chargeur à Cruz, elle se retourne vers Bosco

Cruz : Bosco, donne moi ton arme.

Cruz s'approche de Bosco et s'aperçoit qu'il tremble et qu'il est pale. Elle attrape l'arme de Bosco que ce dernier n'avait pas lâché et tenait fermement. Elle le regarde plus attentivement et s'aperçoit qu'il a du sang sur l'épaule droite.

Cruz : C'est quoi ça, du sang ! T'es blaiser !
Bosco : (de plus en plus pale) Je sais pas…..J'crois pas….Non !
Cruz : T'as du sang sur l'épaule.

Bosco pose sa main gauche sur son épaule droite, se geste lui réveille la douleur, il retire sa main couverte de sang. Il regarde Cruz, un regard plein de douleur mais aussi de peur. Il se met à tremblait de plus en plus et s'écroule par terre.

Santiago et Faith s'approchent en courant de Cruz et Bosco.

Faith : Qu'est ce qu'il a, il m'a dit qu'il n'avait rien !!
Santiago : Il allait bien, y a deux minute il allait bien.
Cruz : (qui avait réussit a refaire prendre connaissance à Bosco) C'a n'a pas l'air d'être très grave.

Les ambulanciers entrèrent dans la pièce, ils commencent par s'occupait du gars et de sa jambe jusqu'à ce que Cruz leur hurlent de s'occuper de Bosco.
Ils transportent les blessés à l'hôpital, Faith les accompagne pendant que Santiago et Cruz emmènent l'autre type au poste.

HOPITAL DE LA PITIE

Ca faisait près d'une heure que Faith était dans la salle d'attente. Santiago et Cruz arrivent, ils ont laisse l'autre en cellule pour la nuit et décide de l'interroger le lendemain matin

Cruz : Tu as des nouvelles ?
Faith : Le gars qu'on a emmené s'appelle Gerry, je connais pas son nom de famille en tous cas il est bien avec Mc Gregor. On pourra l'interroger demain matin.
Cruz : C'est bien, et pour Bosco ?
Faith : Il va bien, ils lui font quelques points mais il devra garder le bras en écharpe quelques jours. Ils voulaient le garder pour la nuit mais bon ….. Tu connais Bosco.
Cruz : Ouais, j'imagine bien la scène.
Santiago : (qui venait de s'approché de Faith silencieusement et d'un air très gêné) Faith, je voulait te dire que je suis sincèrement désole. Si j'avais pas oublié de lui donner le chargeur ce matin rien de tous cela ne serait arrivait, je suis vraiment désolé !!
Faith : Tu y ais pour rien, c'est des circonstance qui se sont enchaîner. Si Bosco avait pas but hier soir, si je l'avais pas jeté il n'aurait pas but non plus. Enfin bref, il va bien c'est le principal.

APPARTEMENT DE CRUZ 1H PLUS TARD

Santiago est assis sur le canapé alors que Cruz sort de sa douche.

Cruz : Manny la douche est libre !
Voyant qu'il n'a aucune réaction, elle s'approche de lui par derrière lui pose une main sur l'épaule et l'embrasse dans le cou. Manny tourne légèrement la tête.

Manny : Tes sorti depuis longtemps.
Cruz : Non pas trop.

Elle vient s'asseoir à cotes de lui sur le canapé et se blottit dans ses bras.

Cruz (levant les yeux vers Santiago) Ca va pas ?
Santiago : Si tu savais comme je m'en veux pour Bosco, il aurait pu…
Cruz : (elle lui coupa pas la parole) Il va bien, tu l'a vue quand il est sorti tous à l'heure. Et il t'a dit qu'il t'en voulait pas et qu'il comprenait pourquoi on l'avait fait.
Santiago : N'empêche que …..
Cruz : Arrête Manny, arrête de te prendre la tête avec un truc qui n'en vaut pas la peine.

Ils restent blotti l'un contre l'autre un long moment.

APPARTEMENT DE FAITH 1H APRES

Faith : Ca va Bosco, t'es sur que tu n'as besoin de rien.
Bosco : Non, ça va mais je crois que je vais rentrer chez moi.
Faith : pourquoi ?
Bosco : On a été claire tous les deux, c'est fini !!
Faith : Tu te rappelles avant d'entrer dans le pub, je t'ai dit que je voulais te parler. C'été pour….
Bosco : (Lui coupa la parole d'un ton un peu sec) Non, Faith, je veux rien savoir. Nous deux c'est fini, je ne veux surtout pas risquer de te faire du mal une autre fois !!!!
Faith : De quoi tu parles ?
Bosco : Tu sais très bien Faith, et si non regarde toi dans une glace et tu comprendra ce que je veux plus jamais te faire.

Sur ces mots Bosco sorti de l'appartement et laissa Faith plantait au milieu de son salon en pleure.

Chapitre 7

POSTE 55 Bureau de la Crime

Cruz (Entrant dans le bureau et y trouvant Faith la tête posée sur le bureau) Alors, Bosco t'as empêcher de dormir toute la nuit ou quoi ?
Faith : (Se redressant) Ouais, mais pas comme tu crois…..Il m'a dit que nous deux c'était fini.
Cruz : Je crois surtout qu'il a peur Faith.
Faith : Peur, mais peur de quoi ?
Cruz : De lui, de se qu'il pourrait te faire.
Faith : Mais la dernière fois c'été autant de sa faute que de la mienne.
Cruz : Je pense qu'il faudra que vous parliez tous les deux………Pour l'instant, on a du boulot laisse lui du temps pour réfléchir.
Faith : T'as raison, j'irais le voir ce soir, et tous les deux on aura une discussion. Je te jure qu'il se débarrassera pas de moi sans m'avoir tous expliqué cette fois !!!
Cruz : Manny est parti interroger le gars de l'hôpital, nous on s'occupe de celui-la. Il nous reste 3 heures avant le début de la conférence de la délégation pour la paix en Irlande.

SALE D'INTERROGATOIRE

Cruz : Alors, t'as passée une bonne nuit dans une cellule américaine ?
L'irlandais : J'ai connu pire au pays !
Cruz : Fait pas le malin, on veut connaître les plans de Mc Gregor.
L'irlandais : Ils sont très simple, il va tuer le représentant des unioniste pour qu'on soit enfin libre dans notre pays.
Faith : Et comment il va s'y prendre ?
L'irlandais : Vous croyais vraiment que je vais vous le dire comme ça ?

Cruz et Faith se regardèrent et sortie de la salle.

Cruz : Il faudrait trouver un moyen de pression.
Faith : Quel genre ?
Cruz : Là je sèche un peu….Pour les drogués c'est simple mais avec lui je vois pas trop.
Faith : J'ai peut être une idée. ..De quoi, ils a le plus peur d'après toi ?
Cruz : Honnêtement, je sais pas trop. Mais si je me rappelle bien de nos recherches. Les membres de l'IRA sont vraiment mal traités dans les prisons anglaises. Donc ça peut être un moyen !!
Faith : Exact !!!

Elles rentrèrent dans la salle.

Faith : Bon, on vient d'avoir une discussion super intéressante avec des flics d'Angleterre.
Cruz : Et tu sais quoi ? Ils connaissent pas mal de chose sur toi et ils seraient ravis que tu les rejoignes dans leurs pays.
L'irlandais : Non, c'est vous qui m'avait arrêté !!
Faith : Et alors ?
L'irlandais : Je préfère rester dans une prison américaine.
Cruz : Il ne tient qu'à toi, donne moi ton pote Mc Gregor et je te ferais passer un séjour en Amérique dans une de nos plus belle prison.
L'irlandais : Je peux pas faire ça ?
Cruz : C'est pas grave, on va te chercher un billet pour l'Angleterre.

Elles commence a se dirigent vers la porte.

L'irlandais : C'est bon, je vais tous vous dire. Mais je veux des garantis.
Cruz : Des garantis !
L'irlandais : Je veux rester enferme en Amérique, et surtout je veux passer un coup de fil à ma femme.
Faith : Pour le coup de fil, tu attendras que l'affaire soit bouclée.

L'irlandais leurs raconta tous ce qu'ils avaient prévu.

BUREAU DE CRUZ 1H APRES

Santiago : Bon, l'autre de l'hosto n'a rien pus me dire. Il est complètement chouté à causse de la douleur.
Cruz : C'est pas grave, le notre a tout dit. J'ai prévu un briefing avec les autres dans 5 minutes.

DANS UN IMMEUBLE DANS LE BLOCS DE LA DELEGATION

Cruz : Il doit être dans l'appartement 18A, il est armé et dangereux. Bon, tous les gars de la crime en premier. Les officiers en uniformes vous me bloquaient toutes les sorties possibles.

Cruz, Santiago, Faith et tous les autres de la crime étaient devant la porte de l'appartement 18A. Cruz commença le décompte à partir de trois et Santiago défonça la porte. Ils entrèrent tous l'arme au poing et fouillèrent toutes les pièces. Ils arrivèrent dans une pièce qui avait vu sur l'immeuble de la délégation. Mc Gregor était sur le balcon, un fusil à lunette sur l'épaule. Les membres de la délégation étaient entrain de monter les marches de l'immeuble. Mc Gregor ajusta son fusil en direction de l'unioniste. Cruz commence à ouvrir la parte vitré de la terrasse tous doucement. Mc Gregor vise et dit « Vive l'Irlande du Nord, Vive l'Ulster libre » et se prépare à appuyer sur la détente. Un coup de feu retentit. Mc Gregor passe par-dessus le balcon.

POSTE 55 SALLE D'INTERROGATOIRE

L'irlandais : (Les larmes aux yeux) Sean est mort, c'est pas possible.
Santiago : Il a voulut tue l'autre alors on l'a descendu avant.
L'irlandais : Il avait des raison de faire ça. Les unioniste on tué sont père. Ils nous font vivre un véritable cauchemar dans notre propre pays qu'ils nous ont volés. Vous connaissent pas notre histoire, vous pouvez pas comprendre.
Faith : Il y avait peut être d'autres moyens ?
L'irlandais : On a tous essayait pendant des années et la violence est la seule arme qui nous reste pour nous défendre et nous faire entendre…..Je peux appeler ma femme maintenant.
Faith : Oui, mais on doit rester à coté pour être sur que vous parlez bien à votre femme.
L'irlandais : Bien ……..Allo, Bridgette, c'est moi mon amour…….Comment vont les enfants………Non …Ecoute mon amour, j'ai été arrête et je doit rester en prison en Amérique…….Je sais que c'est loin mais j'ai fait tous ça pour la Cause, pour notre liberté, notre pays………..Si mon amour je t'aime, je vous aime mais comprend moi……
Faith : Faut raccrocher maintenant, je suis désolée. Vous pourrez la rappeler quand on vous aurait conduit à la prison.
L'irlandais : Je t'aime mon amour, je doit raccrocher dit aux enfants que je les aime et que je les embrasse. A bientôt.

DEVANT LE POSTE 55

Cruz tenait Santiago par la main, ils étaient derrière une voiture avec Faith.

Cruz : Alors, tu vas lui parler.
Faith : Oui si j'arrive à le trouver !!
Santiago : Si tu as besoins d'un coup de main nésite pas à appeler on sera chez nous.

APPARTEMENT DE BOSCO

Faith était devant la porte et prie intérieurement pour que Bosco soit là. Apres un moment, elle frappa à la porte. Bosco ouvrit la porte et la fit entré.

Bosco : Qu'est ce que tu veux, j'croyais qu'on s'était tous dit.
Faith : Je crois au contraire qu'on a beaucoup de chose à se dire.
Bosco : Bien, assis toi alors, te connaissant ça risque d'être long.

Ils étaient tous les deux assis sur le canapé depuis quelques minutes dans un grand silence.

Faith : Ecoute Bosco, hier soir je voulais te dire
Bosco : Faith, non ! Je pensais que c'était clair nous deux…
Faith (lui coupa la parole et monta un peu le ton) Tu peux pas dire ça, je t'aime et je sais que tu m'aime.

Bosco se lève du canapé et Faith le rattrape par le bras. Bosco se retourne brusquement et Faith, malgré elle, a un mouvement de recul et d'auto protection. Bosco se fige devant le regard inquiet de Faith.

Bosco (d'une voie faible) J'allais pas, faith, j'allais pas !!!
Faith (confuse de son geste) Je sais Bosco, je sais. J'ai confiance en toi.
Bosco : Comment tu fais pour me faire confiance après se que je t'ais fais. Moi je me fais pas confiance.
Faith ; J'ai assez de confiance en toi pour nous deux. Laisse moi te prouver que nous deux ça peut marcher.
Bosco : Non, Faith…….. (Des larmes commencent à couler le long de son visage) J'ai peur Faith, j'ai peur de te faire du mal.
Faith : (le tirant vers lui pour le faire s'asseoir sur le canapé a ses cotes) T'es pas comme ça Bosco t'es un mec bien.
Bosco : (de la peine, de la rage, et de la haine dans la voie) J'ai toujours eut peur de lui ressembler et enfin de compte je suis comme lui !
Faith : Tu parles de qui ? De ton père ?
Bosco : Oui.
Faith : T'es pas comme lui loin de la. Faut pas tous confondre Bosco, tu m'a donner une gifle sans te rendre compte de la force que tu y mettais. Et toi, tu t'en veux, tu t'en veux tellement que t'as faillit renoncer à notre amour. Tu vois s'est vraiment pas pareil.
Bosco : Faith, j'ai besoins de toi. Apprend moi à avoir confiance en moi. Mais promet moi une chose Faith, si je doit te faire du mal un jour dans n'importe quelles conditions, promet moi alors de me quitter sur le champs. Tu le promets ?
Faith : Je te promets, mais ça n'arrivera plus.
Bosco : Je t'aime Faith, je t'aime.
Faith : Moi, aussi, je t'aime.

FIN





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