INFILTRATION
par Iena31

 



CHAPITRE 1

21 MARS – 22h30

Ty rentre dans les vestiaires, c'est la fin de la journée pour lui, il s'approche de son cassier et commence à se changer. Lorsqu'il entend un bruit dans un des wc. Il tape à la porte.

Ty : Eh ! Ça va la-dans ?

Pas de réponse, il se penche et aperçoit une personne à moitié allongée, il ne voit pas sa tête mais comprend qu'elle ne va pas bien, il défonce la porte. Il s'arrête net à la découverte de ce corps.

Ty : Eh ! Merde ! Mais qu'est ce que tu as foutu …eh ! Tu m'entends ?

Il voit un sachet de poudre à cotes et compris. Cruz rentre à ce moment là.

Cruz : Davis, je cherche…..qu'est ce qu'il y a ?
Davis : Il…je sais pas…il a prit ça….j'comprend pas ? Ty tend le sachet à Cruz qui le met dans sa poche sans même le regarder.
Cruz : Davis reste pas planté là, va chercher quelqu'un…BOUGE !!

Davis se lève et traverse le centrale sans prêter attention autour de lui. Il court jusqu'à la caserne des pompiers, il monte les escaliers 4 à 4.

Ty : Carlos ! Carlos !
Carlos : Ty qu'est qu'il y a, y a le feu ou quoi. Non, s'il y avait le feu se ne serait pas moi que tu viendrait chercher. Ah ! Au fait, je t'es raconter ma soirée.
Ty : Dépêche on a besoin de toi dans les vestiaires du poste.

Carlos devient cite sérieux et commence a suivre Ty, il croise Grace dans les escaliers.

Carlos : Prend une civière et rejoint moi au poste dans les vestiaires.
Grace : Qu'est ce qu'il y a ?
Carlos : Je sais pas pour l'instant, dépêche toi…il continu à descendre les escaliers.

Ils arrivent, enfin, au poste, dans les vestiaires. Cruz a allongé le corps et lui tient le visage.

Cruz : Il respire mais ne réagit pas quand je lui parle dit-elle à l'attention de Carlos.

Ce dernier s'agenouille à côté du corps mais ne comprend pas grand-chose à la situation, il commence par prendre le pouls et les constantes.

Carlos : Qu'est ce qui s'est passe, il est tombé ? Il regarde tour à tour Cruz et Ty.
Ty : je crois qu'il a fait une overdose.
Carlos : Vous vous foutez de ma gueule, c'est une blague c'est ça, c'est pas possible qu'il se soit drogué
Cruz : Pourtant c'est le cas. Son ton était sec ce qui surpris Carlos, il redevient immédiatement professionnel.
Carlos : Ok ! Il a prit quoi ?
Cruz : (sans aucune hésitation) Cocaïne et de la bonne.

Grace rentre à ce moment la dans le vestiaire.

Carlos : (sans même la regarder) Tu en as mis du temps, va chercher l'ambulance, il faut l'emmener de suite à l'hospital. Il se remit à s'occupe de la victime C'est comme ça qu'il faut le voir et non pas comme un ami, si non je serais pas assez concentré passe-t-il. Ty aide moi à le mettre sur la civière.
Ty : Comment il va, hein !
Carlos : Pas très bien, il faut le conduire vite à l'hospital.

Une fois prêt il attrapa sa radio

Carlos : Ici 55 Adams, je conduis une victime d'overdose à la Pitié.
Central : Bien reçu 55 Adams.
Carlos : Bien aidez-moi à l'emmener jusqu'à l'ambulance.
Cruz : On passe par la porte de derrière, je ne veux pas que tous le monde le voient comme ça.
Carlos : Ok ! À 3 on lever 1…2…3

Il sorte du centrale sans que personnes ne les voient. Ils montent dans l'ambulance, Ty et Cruz les suivent avec la voiture de Cruz.

Cruz : allo ! Manny, c'est Cruz
Santiago : Cruz, ça va pas ? T'es passée où ?
Cruz : Je vais à la Pitié rejoint moi là-bas.
Santiago : A la Pitié, pourquoi ?
Cruz : ------

Cruz prend le portable et le regarde

Cruz : Eh merde ! Faut que ça arrive maintenant.
Ty : Quoi ?
Cruz : J'ai plus de batterie.
Ty : Vous voulez le mien.
Cruz : Non, c'est bon je rappellerais de la Pitié.

Ils arrivent enfin à la Pitié, ils descendent de voiture et se précipitent à l'intérieur.

Carlos : Les médecins l'ont déjà pris en charge, il faut qu'on y aille on a reçu un appel. Ty tu me tiens au courant.
Ty : Ok, merci Carlos.

Carlos lui fait un signe de la main et sort suivi de Grace. Cruz était parti téléphoner pendant ce temps là. Lorsqu'elle revient Ty la regarde fixement.

Cruz : Quoi ?
Ty : Vous n'avez pas eut l'air très surprise quand on l'a trouvé dans les vestiaires toute à l'heure. Vous savez quelque chose.
Cruz : Je t'expliquerais plus tard, pour l'instant est-ce que tu as vue un docteur ?
Ty : Non, mais il y a Marie là, on a qu'à lui demander si elle sait quelque chose.
Marie : Eh ! Davis, tu es là pour ….
Ty : (en lui coupant la parole) Oui, il va comment ?
Marie : le Dr est encore avec lui, allez dans la salle t'attente je viendrait vous chercher.
Ty : Merci Marie.

Cà devait faire bien 10 minutes qu'ils étaient dans la salle d'attente, lorsque Santiago arrive. Cruz se dirige vers lui suivi de Ty.

Cruz : Tu l'as prévenu, elle est là ?
Santiago : Ouais, elle a dit qu'elle viendrait dans 1 minutes.
Ty ; Qui ? (La porte s'ouvrit) Faith ! (Il l'avait complètement oublié comment n'avait-il pas penser à la prévenir)
Faith : Comment il va ?
Cruz : On attend le Docteur.

Un médecin entre à ce moment là, les 4 flics s'approchent de lui.

Tous les 4 : Alors ?
Docteurs : Ca va aller, on le garde en observations quelques heures, après on vera.
Faith : On peut le voir.
Docteurs : Non pas pour le moment repassent dans 2 ou 3 heures.
Santiago : (Le médecin était entrain de sortir) Merci docteur.
Ty : (Il fessait les cent pas devant les autres) Je n'arrive toujours pas à y croire, comment ça a bien pus arriver, lui ! C'est vraiment pas possible ! Pas lui ! Pas après tous ce qu'il a dit sur les drogués, pas après son frère !
Santiago : C'est plus compliqué que ça Devis !
Ty : Comment ça compliqué, vous allez m'expliquer à la fin !

Ty commence à s'énerver, Faith le regarde

Faith : D'accord, mais pas ici.
Cruz : (en sortant de la salle) Un café ç'a vous dit !

Tout le monde sort mais Ty était toujours perdu dans toute cette histoire. Faith qui avait remarqué son regard perdu, le pris par le bras.

Faith : T'inquiète pas, on va prendre un café et on va tous t'expliquer, tu verras il y a une raison clair à tous ça.
Cruz ; J'espère, oui, parce que ça ressemble vraiment pas à Bosco tous ça.

Ils marchent dans la rue vers le café.

CHAPITRE 2

21 MARS – 23h15

Ils sont assis à une table dans le café, la serveuse vient de leurs apporter leurs consommations.

Ty (impatient de comprendre) : Alors ?
Cruz : Bon, tout a commencé il y a 3 semaines, j'ai demandé à Bosco s'il voulait bien travailler avec moi à la crime.
Ty : Il a refusé, je suppose.
Cruz : Ecoute Davis, si tu m'interrompt toute les 2 minutes on va pas y arriver.
Ty : Désolez, allez-y ?

3 SEMAINES PLUS TOT, (BUREAU DE CRUZ)

Cruz : Il faut absolument coincé Conrad, les overdoses ont doublé en une semaine, sa came inonde tous le marché. Le mieux, ce serait d'infiltrer un de nos gars pour exploser toute son organisation.
Santiago : Ouais, mais il faut un gars solide.
Cruz : toi ?
Santiago : Je peux pas, il me connaît. T'as une autre idée ?
Cruz : Dans mes gars il n'y en a aucun qui soit de taille. (elle réfléchit un moment) Je vais voir Swarsky

Elle revient dix minutes plus tard.

Santiago : Alors, t'as trouvé quelqu'un ?
Cruz : J'ai ma petite idée, mais je ne sais pas s'il va être d'accord.

Bosco entra à ce moment là dans le bureau.

Santiago : (légèrement énerve) Te gènes pas, fait comme chez toi, t'as qu'à pas frapper !

Bosco ne fait même pas attention à lui et se dirige vers Cruz

Bosco : (assez froid) Tu voulait me voir, qu'est que t'as ?
Cruz : J'ai un boulot à te proposer.
Bosco : Travailler avec toi non merci ! (il commence à faire demi-tours)
Cruz : Attend ! Je t'explique la situation et après tu vois ce que tu fais.
Bosco : Ok, j't'ecoute.
Cruz : on est sur les traces de Conrad, le dealer, tu connais ? (Bosco affirme de la tête)
Je veux le coincer et foutre en l'air tout son petit trafic, pour ça, j'ai besoin d'infiltrer un gars.
Bosco : Pourquoi tu fait pas ça avec ton nouveau mec (il se retourna vers Santiago)

Santiago lui jette un regard noir ce que remarque Cruz immédiatement. Elle se met entre les deux.
Cruz : Je peux pas Conrad le connais ! C'est pour ça que j'ai besoin de toi. Si tu marches Scul, un de mes indics, organisera un rendez-vous avec Conrad. Tu lui vendra 1 kilos de cocaïne et tu devra gagner ça confiance, t'incruster de plus en plus.
Bosco : On va mettre 1 kilos de came en circulation comme ça !
Cruz : On n'a pas le choix, si on veut remonter plus haut et le coincer pour de bon….. (après un court silence Cruz regarde Bosco droit dans les yeux, le suppliant du regard) Alors, tu marches ?

Apres un long silence, pendant lequel Cruz et Bosco ne se lâchèrent pas du regard.

Bosco : Ok, ça marche pour moi.
Cruz : Merci, Bosco, va te changer on commence de suite.

Bosco sort du bureau et va aux vestiaires. Santiago s'approche de Cruz.

Santiago : Tu lui fais confiance, parce que moi j'ai du mal !
Cruz : Bosco ! Y a pas de problème, pour ce boulot je lui fait confiance les yeux fermés.
Santiago : (un peu mal a l'aise) Toi…et..lui, vous…
Cruz : C'est fini et depuis longtemps, (elle le regarde avec un petit sourire provocateur) T'as pas de raison d'être jaloux.
Santiago (ne sachant pas vraiment comment réagir à cette remarque) Jaloux !...Moi !...De lui !...Non !…De toutes façons il est avec Faith.
Cruz : Avec Faith ! Faith Yokas ?
Santiago ; (en lui fessant lui aussi un petit sourire) T'es jalouse !
Cruz : Pfft ! Pas du tout !

Cruz sorti à son tour et alla rejoindre Bosco dans les vestiaires.
Bosco était assit sur le banc devant son cassier, lorsque Cruz entra il leva les yeux vers elle.

Cruz : Alors t'es prêt ? Faut que tu me fasses confiance sur ce coup.
Bosco : je sais mais j'ai un peu de mal encore.
Cruz : Je comprends.

Elle allait sortir quand Bosco l'appelle.

Bosco ; Au fait s'il devait m'arriver quelque chose pendant toute cette histoire promet moi que Faith ne l'apprendra pas par n'importe qui.
Cruz : Alors Santiago avait raison, t'es avec Faith ?
Bosco : Quoi ?
Cruz : vous êtes ensemble.
Bosco : Pas du tout ! Mais on est encore plus proche qu'avant, depuis la fusillade.
Cruz : Si tu le dit.
Bosco : Alors, pour Faith t'es d'accord.
Cruz : Je te promets, Bosco ! Qu'elle ne l'apprendra pas par un coups de file, n'y par un étranger. T'as ma parole.
Bosco : Ouais, je suppose que je dois m'en contenter.
Cruz : Accorde moi un peu de confiance si non on va pas s'en sortir.
Bosco : Plus tu me le demandes, moins j'y arrive. Désolé, ça viendra peu être…..


4h PLUS TARD

Bosco va au rendez vous accompagner de Scul, l'indic de Cruz. Ils sont dans un grand entrepôt désaffecté.

Scul : Salut Conrad, j'te présente le gars dont je t'ais parlé.
Conrad : Ouais, il a la marchandise ?
Bosco : (s'approchant de Conrad) Si c'est de moi que tu parles, je te prévient que je suis pas sourd et que tu peux me parler en direct. Tient, voilà ton kilo.

Conrad attrape le paquet que lui tend Bosco, y fait une petite entaille.

Conrad : voyons, goûtons ça ! (il en prend un peu et goûte) Ouais pas mal.
Bosco : tu rigole c'est la meilleure came du marché.
Conrad : Non la meilleure c'est la mienne, goûte.

Conrad sort un petit sachet de sa poche et le tend à Bosco. Devant l'hésitation de Bossco, Conrad le regarde avec insistance. Bosco se retrouve devant un dilemme. S'il ne goûte pas la cocaïne c'est sûr Conrad aura des soupçon, mais en prendre …Non ! Il peut pas….Non !............Quoi que, il en a déjà goûte lors d'arrestation pour vérifier. Allé, il s'agit juste de la goûte, Bosco en prit un peu et la goûta.

Bosco : En effet, la tienne est meilleure (gagner sa confiance c'est ce qui est important) Alors, je suppose que tu ne veux pas la mienne.

Bosco commence a reprendre son paquet (tant mieux on ne mettra pas de drogue sur le marche) Mais Conrad lui, prend le paquet des mains et lui tant une liasse de billet.

Conrad : Si, elle coûte beaucoup moins chère alors elle serait parfaite pour les petits drogués de quartier, la mienne je la garde pour les bons clients.
Bosco : Et il t'en faut combien ?
Conrad : 3 Kilos, demain. Et de même qualité !
Bosco : Ok, ça marche pour moi.
Conrad : (se donnant un air menacent) Y à intérêt, ouais !
Bosco : T'inquiet !..... On se donne rendez vous où ?
Conrad : Demain 19h dans le café à l'angle de la 53eme et de King, tu vois ?
Bosco : Ouais très bien.

1h APRES DANS LE BUREAU DE CRUZ

Cruz : Alors ça a donné quoi ?
Bosco : Ca à l'air bien parti, apparemment il a 2 catégories de clients, des petits camés sans importance et des gros clients, style avocats, fils de bourges and co .
Cruz : Ouais, c'est justement eux qui m'intéressent. Il t'as fixer un autre rendez vous.
Bosco : Ouais, il veut 3 kilos, demain !
Cruz : C'est bon ça, ça me plait !
Bosco : Ouais, on fait le flague demain alors ?
Cruz : Comment ça, quel flague ? Demain tu lui vends ses trois kilos et tu t'arranges pour qu'il te propose du boulot.
Bosco : Attend Cuz ! (Bosco commence à s'énerve) Là, je marche pas. 1 Kilos passe encore mais 3 pas question !
Cruz : (Gardant son calme) On doit le faire, il faut qu'il ait confiance.
Bosco : Et si la prochaine fois il demande une arme, je lui vend et je lui offre les munissions en plus c'est ça ! Hein !
Cruz : Exagère pas non plus, qu'est ce que 3 kilos à côté de tous ce qui ne sera pas vendu qu'en on l'aura arrêté !
Bosco : 3 kilos c'est beaucoup trop de mort pour ma conscience. Là je marche pas Cruz ! Cherche quelqu'un d'autre !

Bosco sort de bureau en claquant la porte. Santiago avait regardé la scène sans rien dire. Il se lève et fait face à Cruz, abasourdi par le comportement de Bosco.

Santiago : Pas de problème, on peut lui faire confiance. Pour ce job c'est le meilleur !!!!
Cruz : Ca va ! Santiago ! Ca va !!!!!
Santiago : (il déteste quand elle l'appelait par son non sur ce ton) On fait quoi maintenant, il a tous foutu en l'air ce con !
Cruz : Il faut le faire changer d'avis.
Santiago : Je m'en occupe si tu veux, j'ai toujours rêve d'avoir une explication avec lui.
Cruz : Laisse tomber, Manny, c'est moi qui m'en occupe.

Cruz sort du bureau et regarde tout autour d'elle pour trouver Bosco.

CHAPITRE 3

Cruz sort du centrale, de l'autre cote de la rue, elle voit Bosco appuyé contre sa voiture ( Faut lui faire changer d'avis, facile à dire plus têtu que lui tu meurt, mon dieux un petit coup de main s'te plait)

Cruz : (traverse la route et va vers Bosco) : Eh ! Bosco ! On peut parler ?
Bosco : Je pense qu'on c'est tous dit tous à l'heure, alors t'es gentille tu dégage !
Cruz : (lui fessant toujours face) On est obligé de faire ça, on peut pas laisser Conrad faire son trafic tranquille. Tu penses à tous ces gosses qui touchent à sa merde !
Bosco : (sachant très bien où Cruz voulait en venir) Commence pas à me faire du chantage affectif, ça marchera pas.
Cruz : Tu me laisse pas vraiment le choix, alors tu as pensé à Leati et à …
Bosco : (lui coupe la parole et commence à s'énerver) Je t'interdit de prononcé son nom !!
Cruz : ……..
Bosco : Ta gueule !!!!!!!!
Cruz : (hausse le ton à son tours) Ok, mais si tu laisse tombé, on peut plus rien faire. Je peux pas lui présenter un autre gars maintenant alors ou tu marches ou c'est foutu.
Faith : (qui venait de s'approcher d'eux) Qu'est ce qui est foutu ?
Cruz : Ah ! Salut, ça va ?
Faith : Ouais, qu'est ce qui est foutu alors ?
Bosco : (qui ne voulait pas que Faith soit au courant de toute cette histoire, elle se serait encore inquiète et il ne voulait pas. Il fallait couper court à cette conversation. Il regarde Cruz) C'est bon, je marche, on se voit demain.
Cruz : (comprenant que Bosco ne voulait plus en parler) Ok à demain alors, bonne soirée !!!
(Merci mon dieu d'avoir envoyait Yokas pour me sortir de cette merde) Faith : Tu vas me dire de quoi vous parliez ?
Bosco : Rien, enfin si je vais travailler à la crime quelque temps. (T'inquiète pas Faith, s'il te plait t'inquiète pas)
Faith : Avec Cruz vraiment ! Je savais pas que tu voulais retravailler avec elle.
Bosco : Non, pas vraiment mais Swarsky me l'a demandé.
Faith : Et sur quoi vous travaillez ?
Bosco : (D'un ton sec) Tu me fais quoi là, un interrogatoire tant n'a pas assez fait dans la journée. (Eh ! merde qu'est ce que je peux être con des fois, mais je veux pas qu'elle sache après elle va forcement s'impliquer et va encore mettre sa vie en danger et puis elle a l'habitude que je sois stupide) Faith : laisse tombé ! Je suis trop crevée ce soir pour essayer d'avoir une conversation avec toi. Mais ont en reparlera plus tard.
Bosco : (tant mieux elle n'insiste pas) Je te dépose chez toi comme prévu ?
Faith : Ouais, j'ai pas vraiment le choix de toute façon.

Ils montent dans la voiture de Bosco et parte vers l'appart de Faith.

Bosco : Et ta voiture tu la récupère quand ?
Faith : Le garagiste a dit demain en principe mais si ça te fait chier de me servir de chauffeur demain je me débrouillerais.
Bosco : Faith, j'ai pas dis ça, je voulais juste savoir.
Faith : Ouais, je sais mais c'est juste que j'étais un peu énervée à cause du boulot et que toi t'as réussit à m'énerver encore plus.
Bosco : Désolé, tu veux me parler de ta journée.
Faith : Non ! De toute façon on est arrivé.

Faith descend de la voiture de Bosco et commence à se diriger vers l'entré de l'immeuble. Bosco l'appelle.

Bosco : Faith ! (Celle ci se retourne) bonne nuit quand même. A demain, je passe te prendre à 10h, ça te va.
Faith : Ouais, a demain Bosco.

Tous ces derniers événements avait énerve Bosco. Il y avait d'abord eut Cruz puis maintenant Faith c'est sur l'a il n'arrivera pas à fermer l'œil. Il décida alors d'aller faire un tour. (N'importe où, juste pour me calmer un peu. En plus ce boulot avec Cruz je le sent pas vraiment. Et maintenant Faith qui m'en veut parce que je veux pas lui parler de cette affaire. Comment lui expliquer que je vais encore une fois mettre ma vie en danger pour mon métier. Elle ne veux pas comprendre que ma vie ne vaut pas grand-chose alors me mettre en danger pour sauver d'autres vies c'est vraiment pas important. Faith croit que je fais ça pour être un héros. Mais sur le mémorial dédié aux officiers de police mort en service il y a écrit « Ce n'est pas comment c'est homme sont mort qui en ont fait des héros, c'est la manière dont ils ont vécu. »
Et si je regarde ma vie, je suis vraiment très loin d'être un héros. Allez Bosco arrête de chialer comme un gamin sur ta vie et bouge toi un peu. Coince ce gars est tu auras fais au moins une bonne action dans ta vie.)

Bosco roula pendant près de 2 heures au hasard dans les rue de NY et fini par rentrer chez lui. Il descend quelques verres et se couche.

CHAPITRE 4

Ca fessait une semaine que Bosco travaillait avec Conrad. Il ne savait pas comment mais ce gars là lui fessait entièrement confiance. Et d'un certain côté, sans savoir pourquoi, Bosco l'aimait bien.

ENTREPOT DESAFECTE

Bosco arrive, l'air fatigué il avait quand même réussit à dormir 4 ou 5 heures cette nuit là, un miracle c'est dernier temps. Conrad est assis à une petite table au milieu de l'entrepôt. Bosco salut ses hommes de mains et s'approche de Conrad.

Bosco : Salut mec, j'espère que je ne suis pas trop en retard.
Conrad : (regardant sa montre) Non ça va ! En fait tu arrives pile à l'heure pour un petit chout entre amis.

Conrad sort un petit sachet de sa poche il vide son contenu sur la table devant lui et prépare quatre rail de coke.

Conrad : Prend place, assis toi !

Bosco s'exécute et regarde la scène se demandant bien comment se sortir de cette galère.

Conrad : Avant le plaisir, on va d'abord parler des affaires. J'ai une importante livraison de cames dans deux semaine, enfin la date n'est pas encore tout à fais fixée mais si tu es Ok, t'en ais.
Bosco : Ouais donc je suppose que c'est de la marchandise pour les bon clients.
Conrad : Ouais c'est ça, mais on en reparlera quand j'aurais plus d'info. Maintenant, prend un peu de quoi te détendre. (Conrad lui montre les de rail de coke qui était devant Bosco et lui tend une petite paille)
Bosco : (Ca y est on y est, et dire que je redoute cette situation depuis le début de cette semaine. J'avais réussit à l'éviter jusque là mais maintenant on y est) Tu sais en fait je fessait que passer, j'ai un rendez vous, il faut vraiment que j'y aille. (Bravo, Bosco qu'elle excuse bidon, réfléchi un peu avant de parler, merde !)
Conrad : Tu me la joue a quoi, là ? Hein ? Ma came n'est pas assez bonne pour toi à moins que tu sois un connard de flics !
Bosco : (il devint pale et regarde fixement Conrad) (C'est bon là, je suis mort !!!) Non !!! C'est juste que ….
Conrad : Eh, c'est bon je rigole pour cette histoire de poulet, mais si tu n'en prend pas (Conrad le regarde fixement puis fais signe à ses hommes, ces derniers se rapprochent de Bosco) Je crois qu'on aura un problème tous les deux. !!!!
Bosco : (Je n'ai pas vraiment le choix, mais putain qu'est ce que je fous là, bordel ! Allez, un peu de courage ou beaucoup de stupidité !)

Bosco attrape la petite paille devant lui, il la place devant la première ligne de coke est inspire longuement tous en avancent la paille. La ligne de poudre blanche s'efface petit à petit. Apres avoir fini la première Bosco relève la tête et regarde Conrad droit dans les yeux. Ce dernier lui fais signe de recommence avec la seconde ligne. Bosco change de narine et s'exécute. Il relève de nouveau la tête, il sent les yeux le piquer Il reste la assis sur la chaise un petit moment. Pendant ce temps Conrad été aller répondre au téléphone. Il revient en face de Bosco.

Conrad : T'avait pas un rendez-vous, toi ?
Bosco : (Oh ! putain c'est vrai que j'ai rendez-vous avec Cruz, mais où c'est déjà, merde, je commence déjà a avoir le cerveaux embrouillé) Si, ouais, t'as raison faut que j'y aille.

Bosco se lève et commence à partir, il a la tête qui lui tourne un peu mais il arrive à contrôler, enfin a peu près. Conrad l'appel au moment où il passe la porte

Conrad : Eh ! On se voit demain à 14h00, ok.
Bosco: Ouais c'est ca 14h.

Bosco monte dans sa voiture et pose le tête sur le volant (Non, c'est pas le moment de se laisser allez, il faut garder le contrôle en plus faut que tu ais rendez-vous avec Cruz justement maintenant c'est vraiment pas malin !) Il se frotte le visage puis démarre la voiture. Apres 15 minutes de trajet, il arrive au café, il entre et s'installe à une table. La serveuse prend sa commande et revient 5 minute après avec sa bière. Il pousse son verre un peu vers le centre de la table et pose sa tête sur la table, il a l'impression que la pièce tourne autour de lui, il voit les portes danser et des ombres passer a cote de lui. Alors, il relève la tête en ayant les yeux fermes, les réouvre et le voit là devant lui.

Bosco (l'air surpris) Qu'est ce que tu fais là, comment t'es arrivé ici ?
L'homme le regarde mais lui adresse juste un petit sourire.
Bosco : Ca fessait longtemps que je ne t'avais pas vue, j'ai tellement de trucs à te dire, je sais pas par quoi commencer.

Bosco entend la porte du café s'ouvrit et se retourne pour voir qui c'est, c'est Cruz et Santiago qui viennent de rentre

Bosco : (se retournant vers l'homme) c'est rien c'est Cruz !!(Mais l'homme été parti).

CHAPITRE 5

Santiago tenait Cruz par la main, celle-ce le lâcha en voyant Bosco assis a la table. Ils se dirigent vers lui.

Santiago : Tu veux un café ?
Cruz : ouais !

Santiago l'embrasse dans le cou et part vers le bar.

Cruz : Manny ! J'ai dit pas devant tout le monde.
Santiago : C'est pas tout le monde et puis de toute façon il tourne le dos.

Cruz s'assoit à côté de Bosco, celui-ci a la tête dans ses mains. Santiago les rejoint immédiatement avec deux cafés, il s'assoit en face de Cruz et lui fait glisser le café vers elle.

Cruz : Alors Bosco, on en est où ?
Bosco : (n'ayant toujours pas changé de position) Conrad m'a parler d'une livraison pour dans deux semaines mais il n'en connais pas encore les détail. Il veut que je sois avec lui. C'est un gros fournisseur, je crois.
Santiago : tu en sais plus ?

A ce moment là Bosco lève la tête et regarde Santiago mais sa vision est encore un peu trouble, il a la tête qui lui tourne. Il entend soudain un bruit, il se retourne pour regarder en direction du bar, son regarde croise celui de Cruz.

Bosco : Non (elle sait !! c'est sur elle sait !!)

Cruz pose ses mains de chaque cote du visage et le regarde droit dans les yeux. Bosco était transpercé par ce regard. Santiago regarde tour à tour Cruz et Bosco.

Santiago : Oh ! Tu va l'embrasser ou quoi ?

Cruz jette un regard rapide mais noir en direction de Santiago qui comprend très vite qu'il aurait mieux fais de la fermer. Pendant tous ce temps, Cruz n'avait pas lâché le visage de Bosco. Ce dernier essaye d'éviter le regard de Cruz mais c'était un combat perdu d'avance.

Cruz : (lâchant d'un geste violent le visage de Bosco qui ne pus retenir un mouvement sec te sa tête vers l'arrière ce qui intensifia sa sensation de vertige) Putain, j'y crois pas, dit moi que c'est pas vrai ! Bosco, dit moi que c'est pas vrai ! T'as pas fais ça ! Pas toi ! MERDE !
Santiago : (perdu au milieu de tous ça) Tu m'explique là je comprend rien.
Cruz : Regarde le, merde regarde le, tu vois pas ?
Santiago : Quoi ?
Cruz : (Vraiment énervée) Mais merde ! Ouvre les yeux et regarde le !!!!!
Santiago : (qui s'énerve à son tour) Ca va !! Je vais pas le reluquer comme un PD alors explique toi !!!
Cruz : (Montrant Bosco du doigt) Il est complètement défoncé, totalement ston tu voit rien, hein, regarde le !!!!

Elle tenait le visage de Bosco par le menton. Ce dernier ne contrôler plus aucun mouvement de sa tête, il se sent partir et d'un certain cote ça l'apaisait. Il ne serait dire pourquoi mais il éprouvait une grande sérénité en ce moment. Cruz finit par le lâcher Bosco se cala dans la banquette la tête légèrement en arrière. Ses yeux commencent à se fermer tous seul et il se sent partir comme s'il tombé dans l'inconscience mais il entend toujours les bruit autour de lui.

Cruz : Bon Bosco tu m'expliques.
Santiago : Laisse tomber, il est parti, il est complètement dans le coltard il y en a au moins pour une heure.
Cruz : Une heure, tu rigole on a rendez vous avec Swarsky dans trois quart d'heure.
Santiago : On a qu'à y aller sans lui.
Cruz : On peut pas Swarsky m'a bien dit qu'il voulait nous voir tous les trois.
Santiago : Qu'est ce qu'on fait alors ?
Cruz : on l'emmène chez moi, je vais te le faire redescendre sur terre moi, vite fait bien fait.
Santiago : Chez toi, t'es sur !
Cruz : Ouais, c'est bon, on y va.

Cruz se lève, Santiago attrape Bosco par-dessous les épaules et le fais se lever. Il le traîne jusqu'à la sorti du bar aidé par Cruz. Bosco ouvre les yeux légèrement avant de sortir du bar et revoit l'homme qui été en face de lui toute à l'heure.

Bosco : Eh ! Tu es là, où tu étais passé !!!

Santiago l'entraîna hors du bar et la porte se referma sur l'homme Bosco se retourna pour le regarde mais l'homme disparu petit à petit. Cruz se retourna vers Santiago.

Cruz : Manny, t'as dit quelque chose ?
Santiago : Non, c'est Bosco.
Cruz : Est qu'est qu'il a dit ?
Santiago : Je sais pas on dirais qu'il parlait à quelqu'un mais j'ai vue personne.

CHAPITRE 6

Appartement de Cruz, Une demi-heure plus tard

Bosco est allongé sur le lit, Cruz et Santiago sont assis l'un dans les bras de l'autre sur le canapé.

Santiago : Qu'est ce qu'on fait ?
Cruz : Je sais pas, je crois qu'on va arrête l'opération, je ne veux pas qu'il coule à cause de moi. J'ai déjà vue ma sœur mourir à cause de cette merde je ne veux pas que ça lui arrive a lui aussi.

Bosco se lève et les rejoint dans salon, il n'ose pas affronter leurs regards. Il avait entendu leur conversation. Cruz avait les larmes aux yeux en repensent à Leati. Santiago la serre un peu plus contre lui et l'embrasse tendrement.

Bosco : On continu, tu ne va tous foutre en l'air à cause d'une petite erreur.
Cruz (se lève rapidement et se plante en face de Bosco) Une petite erreur ! Hein, tu appelle ça une petite erreur, tu as vu dans quel état tu étais !!
Bosco : (Détournant la tête) Ca va Cruz, on va pas en faire un scandale, j'ai pris que deux rail de coke c'est pas la mort non plus ! ( Bien sur que je sais que je suis sur la mauvaise pente mais je me sentais tellement bien. Et puis on va pas tous foirer à cause de moi c'est vraiment trop con)
Bosco fixe Cruz droit dans les yeux

Bosco : Au début de cette affaire tu m'as demandé de te faire confiance, maintenant c'est mon tour de te demander la même chose.
Cruz : Tu te rend compte des risque que tu prend, quand on commence à glisser sur cette pente on a du mal a s'en sorti et on coule rapidement. T'es sur de vouloir prendre ce risque ?
Bosco : Ouais (le seul risque que je prend au fonds c'est de me perdre sur cette route, mais je crois que je me suis déjà perdu) .

Ils discutent un moment de l'affaire et parte pour le rendez vous avec Swarsky.

Le lendemain matin

Bosco avait passe une soirée assez calme, il avait descendu plusieurs bières et s'été endormi sur le canapé. Le téléphone le réveilla vers 11h00, il tend la main et décroche le téléphone.

Bosco: Allo
Faith: Bosco, c'est Faith. Ca va ? Ca fait un moment qu'on s'est pas vue ?
Bosco : Ouais, ça va, tu me réveilles là, tu veux quoi ?
Faith : Toujours aimable le matin, toi. Enfin, je t'appelle parce que j'ai Charlie cette après midi et il fête son anniversaire. Il voudrait que tu passes ça fait longtemps qu'il ne t'a pas vue. Tu es d'accord pour passer.
Bosco : Ouais, je vais essayer, c'est à quelle heure ?
Faith : A partir de 13h30, alors tu passe ?
Bosco : J'ai rendez-vous à 14h, je passerais après.
Faith : Ok, a cette après midi alors.
Bosco : Ok, a plus.

Bosco raccroche le téléphone, il est assis sur le canapé, il passe ses mains sur son visage et tous d'un coup une image lui revient à l'esprit. C'était lors d'un anniversaire, celui de Mickey, ils étaient dans la chambre, leurs mère n'étais pas encore rentre bien que la journée été bien avancé. Comme Mickey pleurait parce qu'il n'avait pas encore eut de gâteau d'anniversaire, Bosco alla dans la cuisine et remmena un cookie avec un bougie dessus, Mickey était heureux.

Bosco fut prit d'un frisson a cause de se souvenir alors il se lève et va sous la douche.

15h30 APPARTEMANT DE FAITH

Bosco sortait du rendez-vous de Conrad, il n'avait pas réussit, cette fois encore, à refuser les rails que lui avait préparé Conrad. Et puis, il n'avait pas eut envi de refuser. Il est devant le porte de Faith, il s'appui quelques instants contre le mur avant de frapper.

Bosco : J'en avait tellement envie comment l'expliquer, j'en sais rien. De toute façons c'est pas grave dès que cette affaire est fini j'arrêterais sans aucun problème. Maintenant le hic c'est que Faith ne doit pas s'en apercevoir. Prend sur toi bosco, et il n'y aura aucun problème de toute façon je me sent tellement bien que tous sera parfait.

Bosco se redresse et frappe à la porte, c'est Emily qui lui ouvre. Il regarde toute la pièce. Un groupe d'enfant court dont Charly, Faith se tient de l'autre cote de la pièce avec deux autres femmes.

Emily : Eh ! Bosco, ça va ! T'as pas l'air bien ?
Bosco : Si ça va, un peu crevé à cause de boulot mais ça va.
Emily : (elle tend un paquet à Bosco) Tient ?
Bosco : C'est quoi, ça !!!
Emily : Maman savait que tu ne penserais pas à acheter un cadeau alors elle l'a fais pour toi.
Bosco : Un cadeau !!! Ah, oui l'anniversaire de Charly, (t'es con, c'est pour ça que tu es là)
Emily : Eh ! Bosco, atterrit ! T'es défoncé ou quoi ?
Bosco : (qui commence à pâlir) Quoi ?
Emily : (voyant la réaction de Bosco) Ca va je rigole.

Charly arriva en courant et s'agrippa à Bosco.

Charly : Eh ! Oncle Bosco.
Bosco : (se penche doucement vers Charly) Salut, bon anniversaire mon grand, tiens ton cadeau.
Charly : Merci, oncle bosco.

Charly ouvre le paquet et embrasse Bosco pour le remercier à ce moment là Faith arrive

Faith : Te voila, quand même !
Bosco : (sèchement) Je t'es dit que j'avais un rendez-vous avant.
Faith : Ca va ! Soit pas si énerve, c'était juste une réflexion comme ça.


Faith reparti voir les femmes de l'autre cote de la pièce. Au bout d'une demi-heure, tout le monde était parti. Emily et Faith rangeaient pendant que Bosco, buvait une bière, assis sur le canapé. Une fois qu'elles ont finis de rangeaient, Emily part dans sa chambre et Faith vient s'asseoir à cote de Bosco pour discuter.

Faith : Alors, comment ça se passe avec Cruz ?
Bosco : J'ai pas vraiment envi d'en parler maintenant. (Est-ce que Cruz lui aurait parlé pour hier, non je pense pas quand même. Allez Bosco arrête ta parano. Il faut pas que je reste trop longtemps si non elle va s'apercevoir de tous) Bon, il faut que j'y aille, Faith, merci de m'avoir inviter.

Bosco et Faith se levèrent en même temps, Faith avait compris que ce n'était pas le moment d'insister. Au moment où Bosco se leva, il laissa tomber un petit sachet, Conrad lui avait donné quand il était parti plus tôt dans l'après midi. Faith le ramassa pensant qu'il s'agissait d'un papier. Elle le prit et réalisa immédiatement de quoi il s'agissait. Elle le secoua devant les yeux de Bosco qui ne pouvait pas la regarder en face.

Faith : Tu m'expliques ça ?
Bosco : Je travaille sur une affaire de stupe avec Cruz c'est pour le boulot.
Faith : Tu te promènes avec un sachet de drogue sur toi pour le boulot, tu ne te fous pas un peu de ma gueule.

Charly et Emily qui avait entendu leurs mère criait étaient arrive dans le salon.

Faith : Emily, tu prend ton frère et vous retourner dans votre chambre tous de suite.

Elle se retourna vers Bosco et croisa son regard, comme Cruz la veille, il ne lui en avait
pas fallu plus pour voir dans quel état il était.

Faith : Et tu va me dire aussi que si tu en as pris c'est pour le boulot
Bosco : Arrête Faith, j'ai rien prit (Manœuvre complètement inespéré, t'es foutu elle va le dire à Cruz qui va tous lui raconter, là t'es cuit)
Faith : Regarde moi dans les yeux et tu me redit ça !!!

Bosco détournant son regard de Faith, bien sur qu'il ne pouvait pas faire ça, la dernière fois qui lui avait menti en la regardant dans les yeux quelques mois après elle finissait a l'hôpital.

Faith : C'est bon, il ne m'en faut pas plus pour comprendre dans quel état tu es. Ce que je voudrais savoir Bosco, c'est, pourquoi ?
Bosco : Le boulot, faith, le boulot. (Qu'est ce que je peu lui dire d'autre, qu'à chaque fois que je me regarde dans une glace j'ai qu'une envi c'est de mourir. Et que là encore je suis trop lâche pour résoudre le problème d'une manière radicale. Si seulement j'avais le cran de me tirer une balle dans la tête.)
Faith : Ecoute Bosco quand tu auras décide de pas me prendre pour une con, tu pourras revenir me voir. (Elle se dirige vers la porte d'entrer et l'ouvre)En attendant toi et ta merde (elle lui jette le sachet au visage) Tu sort d'ici, je ne veux pas de ça, il y a mes enfants ici Bosco !!!!

Bosco passa la porte et Faith la claqua juste derrière lui. Faith attrape son téléphone et appelle Cruz, il faut qu'elle ait une discussion avec elle et tous de suite. Elle se donne rendez-vous dans un petit café.

CHAPITRE 7


22 MARS 2H00 DU MATIN TOUJOURS DANS LE BAR

Ty : Alors, après tous ça vous avez arrêté l'opération.
Santiago : Non, il n'a pas voulu
Cruz : Et puis, il ne fallait pas qu'il est autant couler pour tout arrêter avant la fin. On doit choper Conrad et son fournisseur dans 2 jours.

Le téléphone de Faith se mit à sonner

Faith : Ah ! Marie….on arrive retient le.

Faith : (après avoir raccroché) C'était Marie, Bosco peu sortir.
Ty : Eh ! On fait quoi maintenant !
Cruz : Le problème c'est que tant que l'affaire n'est pas bouclée, je ne peux pas mettre Bosco hors jeu. J'ai encore besoin de lui. Désolé. (Cette dernière parole était pour Faith)
Faith : Je comprend, mais après il va vraiment falloir s'en occupe. On peut pas le laisser tomber.

Ils se lèvent tous les quatre et se dirigent vers l'hôpital mais Bosco était déjà parti. Il ne le vire pas pendant deux jours, il avait coupé les téléphones et ne répondait pas à la porte.

LE MATIN DE L'ARRESTATION DE CONRAD

Bosco arriva au 55eme, il avait passé deux jours affreux. Le premier jour, il s'était promis de plus retoucher à la drogue mais entre le manque qui se fessait sentir violement et les rendez-vous avec Conrad il rompt vite sa promesse.

Cruz : Bosco qu'est ce que tu fais la, ça fait deux jours qu'on essaye de te joindre.
Bosco : Pour Conrad, c'est aujourd'hui non, donc je suis là.
Santiago : Et dans quel état ?
Bosco : Je suis capable de faire mon boulot, si c'est ça la question.
Santiago : Pas vraiment !!!
Bosco : (décidé à ignorer la dernière remarque) Bon, j'ai rendez-vous avec Conrad et le fournisseur dans un hangar abandonner, voila l'adresse (il tend un papier à Cruz) Bon moi j'y vais.

Bosco sort du bureau sans se retourner, Cruz lui court après. Ils sont à l'extérieur du poste.

Cruz : Eh ! Bosco, t'es sur que tu peux assurer le coup, on compte sur toi si ça tourne mal.
Bosco : Oui, je suis sur. Fais moi confiance.
Cruz : Très bien mais après toute cette histoire tu sais qu'il va falloir parler
Bosco : (Regarde ses pieds et hausse les épaules) Ouais, je sais.

1H00 PLUS TARD

Le fournisseur de Conrad apporte une valise, il la pose sur une petite table et l'ouvre. Elle contient plusieurs kilos de coke. Conrad est en face, il pose un sac plein de billet. Bosco est juste derrière, il lève la main.

Cruz : (en direction de Santiago et dans sa radio) C'est le signal, on y va !!!
Des flics sortent de partout, Faith et Ty font parti de l'opération, Conrad, ses hommes et le fournisseurs sont rapidement encerclé puis arrêter. Santiago compte les sachets de coke et l'argent sur la table, puis rejoint Cruz un peu plus loin.

Santiago : Bonne prise ! 18 sachets de came et environ 250 000 $

Cruz s'approche de la table et regarde la valise et le sac, elle recompte les sachets de came

Cruz : Combien tu as dit ?
Santiago : 18
Cruz : T'es sur !
Santiago : Oui, ça va je sais compter ?
Cruz : Il y en à que 16
Santiago : Je t'assure qu'il y en avait 18, quand je les ais compté.
Cruz : c'est bon, on réglera ça au poste, allez tous le monde, on y va.

POSTE 55 ½ HEURE PLUS TARD

Cruz était dans son bureau avec Faith, Santiago et Ty.

Cruz : Bon, il nous manque deux sachets de coke.
Ty : Vous croyez que c'est…
Santiago : A part lui, je vois pas qui ça pourrais être !!!
Cruz : Ecoutez, si je vous en ais parler c'est pour qu'on l'aide. Sur le rapport, je ferais état que de 16 sachets comme ça, il ne sera pas inquiété. Mais maintenant, il va falloir qu'on admette tous qu'il a un sérieux problème.
Faith : Ouais, et a mon avis, s'il a commençait à en prendre ce n'est pas que pour le boulot.
Ty : Tu crois vraiment qu'il en avait envi
Faith : Ouais, et je pense que le boulot lui a juste donner l'opportunité. Bon, je vais lui parler.

PENDANT CE TEMPS DANS LE VESTIAIRE

Bosco était assis sur le banc devant son cassier, il regarde en direction de wc, la ou il était il y a juste deux jours. Il se lève et claque la porte de son cassier. Il sort des vestiaires et se dirige vers la poste du poste. Faith a juste le temps de le voir sortir, elle sort derrière lui et le suit.
Apres avoir rouler un quarts d'heure ils se retrouvent au fort où Bosco et Mickey allaient quand ils étaient petit.
Bosco était assis au bord de l'eau, il regarde le vide un moment, puis retire les sachets de sa poche et il se prépare un rail sur le dos de sa main. Il venait de finir de le prendre quand Faith s'approcha de lui.

Faith : Bosco, qu'est ce que tu fais ?
Bosco : Faith va t'en.
Faith : Je peut pas te laisser comme ça, parle moi Bosco. Dit, moi comment, je peut t'aide ?
Bosco : Tu peu pas, Faith, tu peu rien faire pour moi. Va t'en !!! (Il s'était mit à crier)
Faith ; Qu'est ce que je t'es fais, pourquoi tu m'en veut ?
Bosco : (il hurle maintenant) C'est pas toi, faith, c'est la vie, ma vie que je déteste. Tous se que je veux c'est qu'on me foute la paix alors dégage. Laisse moi crever tous seul.
Faith : T'as gagné Bosco, si tu veux vraiment crever alors va s'y sotte et te ratte pas surtout j'en ai mare de toi, alors ouais c'est sur c'est vachement plus simple de laisser tombé plutôt que de te battre. Si jamais tu changes d'avis, je serai chez moi et tu pourras venir me parler.
La seule chose que j'ai a rajoute, c'est qu'il va falloir un jour quand même que tu réalises que tu es important pour quelqu'un. Tu es important pour moi !!!!!!

Faith fait demi-tour et se dirige vers sa voiture, elle regarde Bosco au loin. Il se lève et regarde la mer avec insistance. Il avance un peu plus du bord


CHAPITRE 8


Bosco est tous prêt du vide maintenant, il se retourne et voit que Faith est bien parti et que si il décide de sauter il n'y aura personne pour l'en empêcher. Il recule de trois ou quatre pas et se lance dans le vide.
Faith qui avait tous vue de sa voiture se met à courir vers lui tous en hurlant son nom.
Elle arrive devant la falaise mais reste à quelques pas du bord, elle n'ose pas regarder. Elle inspire un bon coup et regarde vers la mer. Bosco est là, juste en dessous d'elle

Faith : T'es vraiment trop con, Bosco, tu m'as fais peur mais à quoi tu joues
Bosco (qui nager avec un grand sourire) Je voulais juste vérifier si je tenais plus à la vie qu'à la mort .Bon tu m'aide à me sortir de là, parce que l'eau n'est vraiment pas chaude !!!
Faith : Ou t'es vraiment stupide, ou tu es totalement défoncé…. En fait se doit être les deux !!! Demerde toi tous seul !!!

Faith le laissa là et parti à sa voiture, elle demare et rentre chez elle, des larmes coulent le long de son visage. Des larmes de tristesse, d'inquiétude, de rage, de colère, mais aussi de joie parce qu'il n'avait rien. Tous ces sentiments étaient mêle et lui donner une grosse boule à l'estoma.


Ca devait faire 1h que Faith était rentrée chez elle, lorsqu'on sonna à la porte. Elle se leva du canapé et alla ouvrir. Bosco se tenait, devant elle, trempé jusqu'au os.

Bosco : On peut parler ?
Faith : Entre t'es tremper, je vais te chercher une serviette.

Bosco est au milieu du salon de Faith, Il se met à trembler, ce n'est pas parce qu'il avait froid, c'est plutôt le manque qui le met dans cet état là. Faith arrive et lui tend la serviette.

Faith : Enlève ton t-shirt et sèche toi, je vais te chercher un pull (tous en se dirigeant vers sa chambre) Il m'en reste quelques uns de Fred, sa poufiasse lui en a acheter alors il n'a pas pris cela.

Faith entra dans le salon, Bosco se tient torse nu, elle est surprise de la maigreur de son ami. Bosco n'as jamais était gros mais là on voyait bien qu'il n'avait pas mangé depuis un moment.

Faith : Je vais te faire un repas chaud ça te fera du bien !
Bosco : (énervé par le manque) Ca va Faith, arrête de me materner, je veux juste qu'on parle.
Faith : Bon je t'écoute….. Alors !!!! (Elle va s'asseoir sur le canapé)
Bosco : (Faisant les cent pas) Faith, je crois que j'ai vraiment besoins d'aide
Faith : Je demande que ça moi, t'aider, mais faut que tu m'explique pour que je d'aide.

Bosco vient s'asseoir à cote de Faith, il regarde le sol et commence à parler.
Bosco : Tu te rappelle de la façon dont on là retrouver
Faith : Qui ?
Bosco : ils l'ont tué, et j'ai rien pu faire pour lui. J'aurai dû l'aider avant quand il était vraiment dans la merde et que moi je ne trouvais rien de mieux que de le jeter.
Faith : Mais Bosco de qui tu parle ?

Bosco lève la tête, et voit l'homme du café assis sur la petite table basse en face de lui, il lui sourit.

Bosco : Tu le vois Faith ?
Faith : Je comprends rien de ce que tu me racontes. Je ne vois personne, je crois que c'est la drogue qui te fait délirer.
Bosco : Je sais c'est justement pour ça que j'ai continuer d'en prendre.
Faith : Quoi ?
Bosco : Quand je suis défoncé Mickey est là (Faith regarde Bosco et les paroles de son ami s'éclaircisse) On parle, enfin, je lui parle. Tous le monde m'a dit, après sa mort, que la peine, le manque de lui allez diminuer avec le temps mais c'est faut Faith. C'est faut !!!.......Moi, il me manque et de plus en plus, Faith (il commença a avoir la voix qui tremble) Mon petit frère me manque !!!!

Faith passa son bras autour de cou de Bosco, elle ne savait pas vraiment quoi faire. Apres tous ce qui était arrive, tous les proche de Bosco l'avait entouré pour être sur qu'il se remettre de la fusillade de ses blessures physique et morale. Mais ils n'avaient pas vraiment fait attention à sa réaction face à la mort de son frère.

Faith : Je sais Bosco, je sais……Mais tu peux pas continuer à te défoncer pour voir une simple image de Mickey. Tu sais Bosco que c'est pas lui. …….. Et que penserait Mickey de tous ça, lui qui a tellement galère à cause de la dope.
Bosco : Faith, je veux le voir, je veux qu'il revienne, Faith, aide moi pour qu'il revienne, aide moi à le voir encore.
Faith : Comment ça, le voir encore ?
Bosco : J'ai plus rien, Faith, donne moi un cachet ! Un truc, pour tenir !
Faith (retire le bras qu'elle avait encore autour de son cou et se levé pour lui faire face) Non, Bosco, Non. Je veux bien t'aider à décrocher mais certainement pas à te droguer.
Bosco : Je t'en pris Faith (Il se met à trembler, à avoir des sueurs) Faith, aide moi, aide moi !

Il se lève mais tombe sur le sol, il se tient le ventre le manque se fait le plus en plus souffrir, il gémit. Faith saisit le téléphone et appelle une ambulance. A ce moment là, quelqu'un frappa à la porte de Faith. Elle hésite une seconde en se disant bien que se ne peut pas être déjà l'ambulance et va ouvrit tous en ne lâchant pas Bosco du regard.
Cruz et Santiago se tiennent derrière la porte, voyant que c'est eux Faith laisse la porte ouverte et retourne vers Bosco qui n'avait toujours pas bougé. Cruz commence à rentrer dans l'appartement, elle n'avait pas vue Bosco par terre, il était caché par le canapé.

Cruz : Tu es parti du poste et on a pas eut de tes nouvelle, tu as pu lui parler, ou……

Cruz s'arrête net en voyant Bosco par terre, il était toujours entrain de trembler et était plié en deux.

Santiago : Qu'est qu'il a ?
Faith : Il est en manque, j'ai appelé une ambulance, elle devrait pas tarder.

Bosco regarde Cruz, elle peut lire une demande à l'aide, il la supplie du regard.

Bosco : Cruz s'te plait donne moi quelque chose, j't'en pris !!!!!
Cruz : J'peux pas Bosco, j'peux pas !!T'inquiète pas une ambulance arrive.

Bosco fait un effort et se relève, il fait quelque pas toujours plié en deux, puis se laisse tomber contre le mur. Faith s'approche de lui et lui attrape la main. A ce moment là les ambulanciers arrivent, ils entrent dans l'appartement, Cruz et Santiago n'avait pas fermé la porte. Ils s'approchent de Bosco qui entre temps avait perdu connaissance. Faith le secoue un peu, mais il ne réagit pas. Les ambulanciers l'emmènent à l'hôpital, Faith les suit dans la voiture de Cruz et Santiago. Les médecins prennent Bosco en charge et les 3 autres vont dans la salle d'attente.

Cruz : Il t'a dit pourquoi ?
Santiago : C'est peut être pas le moment ?
Faith : C'est à cause de Mickey
Santiago : Mickey ?
Cruz : (A l'attention de Santiago) Son frère. (Puis regarde Faith) Je vois pas la relation, ça devrait plutôt l'arrêter au contraire.
Faith : Il m'a dit que quand il se drogue il voit Mickey et qu'il lui parler. On a jamais vraiment reparler de la mort de son frère, la fusillade et se qui à suivit a occupé nos pensées. Mais on s'est jamais dit qu'il soufrait de la mort de Mickey.
Cruz : C'est Bosco ! Il a toujours était fort. Il a toujours tous encaissé sans rien dire. On a pas pensé qu'il pourrait allez si mal.
Santiago : C'est pas le moment de chercher se qu'on a pas vu ou s'il y avait des signes qui annoncé ce qui allez arriver. Maintenant, il faut trouver le moyen de l'aider.

Au bout de deux heures, ils ont pu aller le voir, Bosco était allongé sur le lit et n'osait pas les regarder. Faith demande à Cruz et Santiago de les laisser seul. Cruz prends Santiago part la main et sortent de la chambre.

Faith : Alors Bosco, on fait quoi maintenant ?
Bosco : Tu m'aides à sortir de l'hôpital.
Faith : J'crois pas, non, il faut que tu réagisses. Tu as deux solutions, Bosco, ou tu continu et là tu sera seul plus la peine de compter sur moi ou alors tu veux vraiment t'en sortir et là je veux bien t'aider, réfléchit !!

Faith sort de la chambre les larmes aux yeux, sachant qu'elle venait de lui donner un ultimatum et que seul Bosco pouvait faire son choix. Elle se dirige vers la sortie de l'hôpital, Cruz et Santiago l'a regarde et ils vont à leurs tours dans la chambre.

Cruz : Hé !! Ca va !!!
Bosco : Non, faut que tu m'aides
Cruz : Ca dépend de ce que tu veux
Bosco : Je veux arrêter, je veux redevenir clean, aide moi s'il te plait.
Cruz : Tu veux que je me renseigne sur les centres de désintox.
Bosco : Non, pas d'hôpital, j'en ais marre !!! Je veux le faire chez moi, mais je veux pas que Faith me voit. Ca va être des sales moment je le sais.
Santiago : Ok, on va t'aider. Tu sort quand de l'hosto ?
Bosco : Tout de suite, je veux pas rester ici.
Cruz : bon tu viens chez moi alors.
Bosco : Ok, et merci.

Bosco passa une semaine enfermer dans l'appartement de Cruz. Cruz et Santiago veillait sur lui à tour de rôle. Il est passé par différent stade lors de ce séjour. Dans les premier temps le manque l'a rendu agressif mais malade en même temps. Il avait de crise qui le fessait terriblement souffrir, il avait des vomissement, des sueurs, des hallucinations.
Au bout d'une semaine, il se sentait mieux, il décida de retourner chez lui.
Il reprit le travail trois semaines après, il décida, pour prouver à tout le monde qu'il allait mieux, et qu'ils pouvaient de nouveau lui faire confiance de les inviter à dîner.
Faith arriva la première pour lui donner un coup de main.

Faith : Alors, ça va mieux ?
Bosco: Ouais.
Faith : Hé ! Mickey !
Bosco : Quoi ?
Faith : (un peu genet) Tu le vois toujours.
Bosco : Ouais, quand je ferme les yeux et que je pense très fort à lui. Mais tu sais son image disparaît petit à petit. Je crois que je commence à l'oublier, tu vois son souvenir s'estompe de plus en plus. En fait, j'ai peur de l'oublier.
Faith : C'est qu'une impression, Bosco, tu ne pourras pas l'oubliait, c'est ton frère.

On frappa à la porte se qui interrompt leurs conversations, Bosco soulagé va ouvrir la porte. C'est Cruz, Santiago et Ty qui arrivent pour dîner. La soirée se passe bien.
A un moment Bosco va d'en la salle de bain, ouvre la porte du placard au dessus du lavabo et attrape une boitte de comprimer. Faith est d'en l'angle de la porte et le regarde s'en rien dire, elle est suspendu à ses gestes, elle s'est que si il prend un de ces comprimés c'est qu'il va replonger. Elle a l'impression que son cœur s'est arrêter de battre devant l'hésitation de son ami. Bosco regarde la boitte qu'il a dans la main, l'ouvre, en verse quelques uns dans sa main. Puis il se regarde dans la classe. Reverse les cachets dans la boitte et la repose dans le placard. Il commence à se diriger vers la porte, puis fais demi-tours réouvre le placard et rattrape la boitte. Il la prend et la jette à la poubelle. Il sort de salle de bain et croisse le regard de Faith, il comprend qu'elle a tout vue. Il se sent gêné, mais elle lui sourit, il sait qu'elle approuve son geste et qu'elle est même fière de lui alors il lui adresse à son tour un sourire et ils retournent ensemble dans la pièce pour rejoindre leurs amis.

FIN




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