- Davis, Sully, Bosco et Yokas arrivent en même temps devant l'immeuble où habite un suspect
- Bosco : Allez on y va !
- Sully : Il sait même pas où il faut aller
- Yokas : Comme si c'était un problème pour lui
[...]
- Bosco (à Davis) : Où tu planques ton autre chargeur ?
- Davis : Dans ma ceinture
- Bosco : Dans le dos? Mets le devant comme ça tu l'auras à portée de main.
- Sully : Au cas où ses 16 premières balles ne suffisent pas. C'est pas la bataille de Normandie.
- Bosco : Davis, t'as un flingue de secours?
- Davis : Non
- Bosco : Prends en un, j'ai un Smith & Wesson très léger attaché à ma cheville gauche.
- Sully : Très léger, pas comme toi.
- Bosco : T'es jaloux Sully ?
- Sully : De tous tes flingues ? Si tu tombes tu exploses !
- Yokas : Très bien alors qu'est ce qu'on fait ensuite ? Vous ouvrez vos braguettes et je prends les mesures ?
- Sully : Il vaudrait mieux que t'ailles chercher une loupe pour Bosco
- Bosco : ...un mètre.

- Dans la salle de briefing :
- Kowalski : Priorité absolue pour tous, le pompier est dans un état extrêmement critique. L'auteur des coups de feu court toujours. Mickael Daniels, 19 ans, paranoïaque, schizophrène, à court de médicaments. La mère dit que le sujet est persuadé d'être poursuivi par des agents du gouvernement.
- Bosco : Maitenant c'est sûr et certain
- Kowalski : La brigade criminelle a placé son appartement sous surveillance. Ne vous en approchez sous aucun prétexte. Si vous avez un appel dans le coin, contactez le poste on verra si un flic en civil peut s'en charger. Allez-y et ouvrez grands les yeux et les oreilles.
- Sully : Davis, prends-en 2, je vais chercher la voiture
- Bosco : Résoudre les problèmes, on fait ce boulot jour après jour pour résoudre des problèmes.
Bosco et Davis sortent de la salle de briefing pour aller chercher leurs radios.
- Bosco (à Davis) : Alors, il t'a sorti son baratin au bout de combien de temps ? Tu veux entendre mon petit discours ? : Termine ton apprentissage avec le vieux et ensuite fait équipe avec quelqu'un qui veut être un vrai flic, pas une gentille assistante sociale, à moins que tu veuilles faire du lard toi aussi .
Bosco prend sa radio
- Bosco : 43 ! Il grésille de partout celui-là, si on veut baisser le son, faut l'éteindre.
- L'agent qui distribue les radios : Je suis bouleversé d'entendre ça
- Bosco : Je l'ai déja eu 3 fois la semaine dernière
- L'agent : seulement parce que j'ai été absent 2 jours
- Bosco (à Davis) : Tu veux être flic ? Eloigne-toi de Sully aussi vite que tu peux.

- Carlos, Bobby, Kim et Jimmy à la caserne :
- Carlos : J'ai rencontré la femme et les enfants de Jerry
- Kim : oui, c'est Jamie, elle est très gentille
- Carlos : Alors, il est pas ...gay ?
- Bobby : Il t'a fait le coup classique de "Alors ça fait combien de temps que t'as pas eu un homme, un vrai ?"
- Carlos : Il m'a mis la main aux fesses !
- Bobby : Mon premier jour ici, il m'a embrassé
- Kim : ouais, mais tu as adoré
- Jimmy : Il s'était amusé à coller mes bottes au plancher
- Bobby : C'était qui ce petit qui avait la tête comme une pastèque ?
- Jimmy : oui, celui qui te ressemblait....comment il s'appelait ?.... Davy....
- Bobby : Yablans...ouais, Davy Yablans, sa première nuit qu'il a passé à la caserne, Jerry a mis tous les lits de camp cote à cote au milieu de la pièce et on s'est tous dessapés. Yablans revient après s'être lavé les dents et il nous voit tous en train d'attendre, souriants, à poil sur les lits ! Jerry s'approche doucement de lui et lui dit "Ton pieux est au milieu" !

- Bosco et Yokas en voiture :
- Bosco : Alors on attrape ce gars, il plaide la folie, les contribuables vont payer pendant 20 ans au moins pour réhabiliter ce barjot, ensuite ce psy qui n'a aucune preuve que ce pourri soit encore dingue ou pas dit aux autres que le gars ira surement bien s'il a une assistance médicale, alors qu'est ce qu'ils font ? Ils le laissent partir. Tu sais ce qui se passe ensuite ?... Il arrête de prendre ses pilules, il découpe sa grand-mère avec un couteau de boucher, il s'enferme avec le corps pendant 3 semaines avant que sa tante Sally vienne prendre des nouvelles.
- Yokas : Et alors, t'as une meilleure idée ?
- Bosco : Dans l'ancien temps, un bataillon aurait suivi sa trace et rapporté une de ses oreilles ou une main et c'était réglé.
- Yokas : Quoi, ni lynchage public ni pendaison au milieu d'une grande foule en délire?
- Bosco : Joue pas à la maline avec moi
- Yokas : Ecoute, on va surement pas te nommer commandant Bosco et t'envoyer avec un escadron de la mort pour éliminer les malades mentaux
Ils reçoivent un appel sur la radio de Bosco qui grésille
- Yokas : Attends, il t'a encore donné celle-là ?
- Bosco : J'crois qu'il a un petit problème avec moi
- Yokas : ouais, tu l'as frappé en pleine tête avec une matraque
- Bosco : Combien de fois vais-je devoir m'excuser pour ça ? Je me suis jeté sur le gars qu'on essayait de boucler et Riley est arrivé, ce vieux crétin, il aurait pas dû être là, de toute façon ce con est tellement lent
Le central rappelle 55 David
- Yokas : Oh ça suffit, éteins ça, on va prendre la mienne
- Bosco : Ca lui a juste fait une bosse
- Yokas : Il a eu 10 points de suture !

- Bosco et Yokas rejoignent Bobby et Kim :
- Yokas (à Kim) : Eh, tu portes un gilet par balles ?
- Kim : C'est un cadeau d'anniversaire de la part de mon ex mari
- Yokas : Moi en général, j'ai un aspirateur ou une bricole romantique
- Kim : Au moins un aspirateur ça peut servir, ce truc est juste chaud et inconfortable, en plus je ressemble à une barrique
- Bosco : J'aime beaucoup ça moi.


- Carlos et Davis attendent Sully et Doc
- Davis : Ton équipier t'a planté là toi aussi?
- Carlos : Ouais, je crois pas qu'il ait envie de discuter avec moi aujourd'hui
- Davis : C'est exactement pareil avec Sullivan, c'est comme si je bossais avec ma grand-mère
- Carlos : Elle parle jamais ?
- Davis : Non, c'est une vieille peau

- Pendant ce temps, Sully et Doc prennent un café :
- Sully : Comment tu te sens ?
- Doc : C'est pas sur moi qu'on a tiré.... Tu ne penses jamais à quitter ce boulot ?
- Sully : Oh, environ 25 fois par jour
- Doc : Pourquoi tu le fais pas ?
- Sully : La journée n'est pas finie

- Un homme a chié dans la voiture de Bosco et Yokas. Bosco vaporise alors du déodorant dans la voiture.
- Bosco : Maintenant ça pue comme si quelqu'un avait chié au milieu de la forêt !
-
Yokas : L'odeur des couches imprégnée sur les pulls aussi c'est sympa

- Dans l'ambulance :
- Bosco : Qu'est ce qui te fait marrer comme ça ?
- Yokas : J'ai trouvé ton flingue de secours, il était dans l'allée. Dans le barillet y'a encore toutes les balles
- Bosco : J'ai pas eu le temps de tirer
- Yokas : Mais t'étais assez près pour le balancer par une fenêtre. Heureusement que les gilets par balles existent.
- Bosco : J'aurais dû descendre ce mec
- Yokas : Mais tu l'as pas fait
- Bosco : J'aurais pu
- Yokas : Tu l'as pas fait
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