- Jimmy attend pour se garer. Bosco arrive et prend sa place.
- Jimmy : Non Non Non ! Surement pas !
- Bosco : Salut Jimmy !
- Jimmy : C'est ma place
- Bosco : C'est ma caisse qu'est là alors c'est MA place
- Jimmy : Tu m'as vu poireauter
- Bosco : Mieux vaut tenir que courir
- Jimmy : Eh, tu tires ta bagnole de là !
- Bosco : Si t'as un problème Pin Pon, appelle les flics !
- Davis est en train de siffler dans la voiture :
- Sully : C'est bientôt fini ?
- Davis : Désolé... Je me sens en pleine forme, je me suis réveillé tôt, j'ai fait quelques paniers au parc, il pleut pas, c'est une belle journée.
- Sully : On est lundi. Ca pue toujours les lundis.
- Davis : Faut essayer d'être plus positif que ça enfin ! Les journées elles sont comme on les fait.
- Sully : Appelle le central
- Davis : 55 Charlie à Central, prêt à toute éventualité. Message terminé.
- Davis : C'est notre mental qui induit notre façon de voir mais on peut le contrôler.
- Sully : Tu veux quand même pas que je me mette à faire de la méditation zen ?
- Central : 55 Charlie, j'espère que vous avez un stylo j'ai une douzaine d'appels dans votre secteur
- Sully : Et merde ! Central, donnez nous les grandes lignes
- Central : 3 disputes conjugales, 1 vol à l'arraché, accident automobile, dégâts matériels, femme coincée dans une baignoire, 4 vols avec effraction, un chien battu et une odeur suspecte.
- Davis : .... une odeur suspecte ?
- Sully : C'est bien ce que je disais, c'est un lundi qui va puer.

- Bosco rentre au poste :
- Kowalski : Boscorelli ! On a livré ça pour toi (en montrant un bouquet de fleurs). Et y'a une carte : "Maurice chéri, merci pour cette inoubliable soirée signé Lance. PS Tu as oublié ton sac de sport aux vestiaires des bains-douches
-
Bosco : Donne-moi ça ! Ca vient de Doherty, un pompier de l'autre coté, on a eu un différend
- Kowalski : Il veut sans doute se faire pardonner
- Bosco : Il me rend la pareille parce que j'ai fourré ma tire sur son parking
- Kowalski : C'est comme ça que ça s'appelle de nos jours ?
- Bosco : Ah ah Excellent. Très marrant
- Kowalski : T'emportes pas tes belles fleurs Maurice ?
- Bosco : Donne-les à ta femme Kowalski, ça lui fera oublier sa migraine, pour une fois !

- Yokas : Fred a toujours cru que tu étais gay !
- Bosco : Quoi ?!!! (Kooaaa !)
- Yokas : T'as une façon spéciale de marcher
- Bosco : J'ai une façon spéciale de marcher ?!!!
- Yokas : On dirait que tu te balances. C'est ce truc qui est accroché à la ceinture, ça fait marcher tout le monde d'une façon bizarre

[...]
Bosco rejoint Kim, Bobby et Yokas près d'une victime
- Bobby (à Bosco) : T'as la hanche qui te fait mal ?
- Bosco : Pourquoi ?
- Bobby :T'as une démarche bizarre
- Yokas : Oui, il est un peu emprunté aujourd'hui
- Bosco : J'ai rien qui cloche dans ma façon de marcher.

- Davis et Sully essayant de trouver de nouvelles chaussures pour Davis
- Davis : Faut vraiment que je m'en achète d'autres ? Je peux peut-être simplement nettoyer les miennes.
- Sully : Tu as marché sur un cadavre. Y'a qu'une solution : les mettre au feu ! Tu fais quelle pointure ?
- Davis : Ils vont pas en avoir dans ma pointure
- Sully : Tu fais du combien ?
- Davis : du 48
- Sully : du 48 ???!!!!
- Davis : Ouais, j'ai de grands pieds.
- Sully : Moi j'appelle pas ça des pieds mais des skis nautiques !


- - Bosco : Je peux mettre du sucre dans son réservoir
- Yokas : Pas marrant
- Bosco : Des crottes de chien dans son casque ?
- Yokas : Trop banal

- Yokas frappe à la porte d'un appartement où un jeune homme est prêt à se jeter du balcon
- La mère : Vite, il va sauter, oh mon dieu, c'est mon fils, c'est Larry. Chéri descends tu nous fais peur !
- Yokas : Il vaut mieux que vous nous laissiez essayer
- Bosco : Je m'en occupe
- Yokas : Non, laisse moi, je sais que t'aimes pas ça
- Bosco : Je m'en charge, occupe toi de la famille

- Larry : N'approchez pas je vais sauter
- Bosco : Quoi, devant votre mère ?
- Larry : Vous approchez pas de moi

- Bosco : Waouh ! C'est drôlement haut, ça va faire mal ! Vous en voulez à votre mère ?
- Larry : Quoi ? Non, non, je l'adore ma mère
- Bosco :C'est une façon plutôt horible de lui montrer, la laisser avec le souvenir du toubib fourrant ce qui reste de vous dans de vilains sacs poubelles et du jet d'eau qui nettoie le trottoir
- Larry : N'approchez pas, compris
- Bosco : Pendant que je vous aide à descendre, vous pouvez me parler de ce qui vous a poussé à cette situation
- Larry : David m'a plaqué
- Bosco : David ?!!
- Larry : Au bout de 4 ans, ce matin il s'est levé et il est parti.
- Bosco : Yokas ! Il vaut mieux que tu t'en charges
- Yokas : Fais pas l'idiot
- Bosco : Ecoutez Larry, je comprends votre peine
- Larry : Comment vous pouvez savoir ce que je peux endurer ?
- Bosco : Si Larry, je vous assure, vous pensez qu'il n'y aura plus jamais personne, je suis passé par là, seulement, je vais vous dire : il faut vous ressaisir, y'en a plein qui vous attendent dehors.
- Larry : Y'en aura jamais d'autres comme David
- Bosco : C'est un imbécile. C'est vrai enfin, regardez vous.......vous êtes beau garçon
- Larry : Vous trouvez ?
- Bosco : Mais oui, les types vont se mettre en quatre pour essayer de vous plaire. Venez,... allez venez, on va rentrer

Au moment où Larry attrape la main de Bosco, Larry glisse sur le rebord. Bosco et Yokas le récupèrent par la manche
- Yokas (à la famille) : On le tient, tout va bien
- Larry : Me lachez pas !
- Bosco : Mais non, on vous tient. On vous lache pas, accrochez vous !
Mais Larry leur échappe...
- Bosco : Merde !

|