- Carlos et Doc assis dehors , Doc lit le journal pendant que Carlos regarde les filles passer :
- Carlos : Waouh, visez un peu ces canons. Vous savez ce qui m'excite le plus chez elles ? C'est la longueur de leurs ...
- Doc : On peut savoir de quoi tu parles ?
- Carlos : de leurs jambes !
- Doc : unh unh
- Carlos : Imaginez les avec des bas de soie
- Doc : Imagine-les quand tu leur enlèves
- Carlos : Je rêve ou quoi ?
- Doc : Ca signifie quoi "je rêve ou quoi" ?
- Carlos :Je n'ai pas eu l'occasion de vous voir à l'oeuvre
- Doc : Ah non ?!
- Carlos : Regardez un peu toutes ces super minettes, je sais pas ce qu'il vous faut pour que vous réagissiez
- Doc : Je les ai remarquées mais je vais te dire un truc mon pote : c'est pas parce que je parle pas que je suis miro
- Carlos : Ah ouais ?.....Il vous arrive de sortir ?
- Doc : C'est pas ton problème
- Carlos : Votre femme est morte il y a un an, je comprendrais que vous me disiez non
- Doc : Je sortirais si je trouvais des filles interessantes
- Carlos : C'est pas avec une alliance que vous allez attirer les filles
- Doc : J'ai pas envie d'être un piège à filles comme toi. Je te les laisse, je suis pas jaloux
- Carlos : ouais, vous avez raison, ça me regarde pas

- Bosco au téléphone avec Yokas qui a pris sa journée pour fêter Thanksgiving :
- Bosco : ...T'as dû le mettre quelque part...le 61, le rapport sur le cambriolage d'hier....non, j'ai regardé.....non j'ai regardé absolument partout.
Sully et Davis passent à coté de Bosco
- Sully : Tu es avec Maman, Bosco ?
- Davis (en tirant l'oreille de Bosco) : Jamais tu lui laches la jambe ?

- Yokas : On retrouvera le 61 demain, t'arriveras à te débrouiller sans moi ?
- Bosco : Tu rigoles, ça va super
- Yokas : Au fait, tu dors toujours la lumière allumée ?
- Fred : C'est Bosco ?
- Yokas (à Bosco) : Attends une seconde
- Yokas (à Fred) : Oui, c'est Bosco, tu veux quoi ?
- Fred : Il dort la lumière allumée ? Comment tu le sais ?
- Yokas : Comme je sais que c'est ton second verre et que les invités ne sont pas encore là.
- Fred : C'est le seul moyen de supporter ton frère
- Yokas (à Bosco) : Oui Bosco .....mon frère et mon mari à la même table, ça sera probablement plus calme dans les rues que chez moi....Tu étais chez ta maman, je suppose
- Bosco : ouais, j'suis resté chez elle voir le match et on a mangé de la dinde
- Yokas : c'est super, alors Bon Thanksgiving
- Bosco : ouais, merci, toi aussi, à plus.
 
- Bosco qui patrouille seul, est appelé dans un restaurant :
- Le maître d'hotel : Ah vous voila enfin, venez cet individu importune ma clientèle

- Léonard : ...vous appelez ça une famille ? Pas moi en tout cas
- Bosco : Monsieur
- Léonard : Ah, voila les flics, c'est pas possible, les flics maintenant ?
- Bosco : Voudriez-vous vous asseoir et vous calmer monsieur
- Léonard : Ecoutez, c'est entre moi et eux, c'est pas votre problème, ne vous mêlez pas de ça.
- Bosco : Ecoutez, si vous ne vous calmez pas vous allez devoir me suivre
- Le père : Léonard, reprends toi
- Bosco : Vous avez un problème quelconque ? Allez-y racontez moi tout, je vous écoute
- Léonard : J'en ai pas UN mais CINQ problèmes : mon père, mon frère Tom, son imbécile de femme, ma soeur Alice, mon frère Vincent : le petit génie de Wall Street

- Alice : Tout le monde est un problème, sauf toi . C'est ça ?
- Léonard : Papa, tu leur as permis qu'ils appellent les flics ?
- Le père : Il y a une nuance, je ne leur ai rien permis du tout, c'est moi qui les ai prévenus
- Bosco : Ecoutez moi, j'ai une idée, vous pourriez régler ça chez vous... et il viendrait avec vous
- Vincent : Non !
- Bosco : Non ?
- Vincent : Non, si un inconnu vous embête, vous n'allez pas lui dire de venir chez vous. Quelle différence ça fait qu'on soit parents ?

- Tom : Nous voulons qu'il parte d'ici tout de suite.
- Bosco : Effectivement, il me semble que c'est mieux de sortir, venez avec moi. Personne ne sera poursuivi, y'aura pas de suite
- Léonard : Ne me touchez pas
- Bosco : Je vous ferai sortir d'ici d'une façon ou d'une autre
- Léonard (en sortant son arme et en la braquant sur Bosco) : Je n'ai pas l'intention de m'en aller
- Bosco : Vous n'avez pas envie de me tuer

- Tom : Je n'ai jamais vu de révolver aussi ridicule !
- Léonard : Mettez les mains en l'air
- Bosco : Là, vous dépassez les bornes
- Léonard : Allez, mettez les mains en l'air ! ...Toutes les personnes qui ne sont pas de ma famille peuvent sortir immédiatement.... Exécution !.... Excepté vous .... Je vais vous descendre...j'vais vous descendre
- Bosco : Vous approchez pas de lui (en parlant du serveur à coté de Léonard) . Allez Léonard, y'aura pas de blessé
- Léonard (au serveur) : Pas la peine, tu vas rester ici toi aussi.
- Léonard : Alice, enlève lui son flingue.
[...]
- Bosco : Vous voulez savoir ce qui se passe dehors ? Ils ont déja envoyé l'unité d'intervention spéciale, les gars sont armés de Rougher 6-60, ce sont de très bons tireurs, ils ont des grenades paralysantes, ils sont déja devant l'hotel, ils ont aussi des grenades lacrymogènes, vous tenez vraiment à vous battre contre une armée entière ? Hein ?

- Léonard : ...ce que je veux... c'est ........
- Tom : Ca doit être pas mal
- Léonard : la ferme !!
- Bosco : Il a raison, taisez-vous !
- Tom :
Excusez moi, c'est un comble
- Bosco (à Léonard) : J'essaie de me mettre à votre place
- Léonard : oh non, vous pouvez pas vous mettre à ma place. Vous voyez un peu de quel milieu je viens
- Le père : c'est ma faute.. c'est clair
- Bosco : Mon père n'était pas triste lui non plus, vous savez ? Il avait une façon de vous regarder comme si vous étiez une tache sur une chemise blanche. Et ouais... et ma mère, c'était pas rose pour elle, tous les jours, non plus. Et pourtant, je les ai jamais mis en joue pour ça.
- Tom : Vous en faites pas, il pédale dans la choucroute. C'est comme quand il voulait ouvrir une boutique de fournitures pour jardins d'enfants.
- Bosco : Vous n'êtes pas un peu cinglés ?
- Léonard : Vous me comprenez, vous, hein ?
- Le père : Vous avez l'air de bien faire la paire tous les deux
- Bosco : D'accord, d'accord, maintenant silence. Le premier qui dit quelque chose, je vous jure que si je m'en sors, je le fais coffrer pour incitation à l'émeute.
Léonard tire accidentellement dans la jambe du serveur
- Léonard : Je m'excuse...je m'excuse, j'avais pas l'intention de tirer
- La belle soeur (à son mari) : Mais enfin, fais quelque chose !
- Léonard : Silence !
- Bosco :Léonard... Je vais aider cet homme. Je vais lui porter secours

[...]
- Bosco : Ecoutez moi Léonard, en continuant ainsi, je ne vois pas de solution....... Le téléphone, c'est eux, ils appellent à cause de la détonation, il pourrait y avoir de l'action dans peu de temps.
- Léonard : de l'action...
- Bosco : C'est votre dernière chance d'essayer de vous racheter. Oubliez votre famille. Ecoutez, d'après ce que j'ai vu, je suis plutôt de votre coté. Mais il faut que vous fassiez un geste. Donnez moi les armes, d'accord ? Je vous ferai sortir d'ici.
- Léonard : Il faut qu'ils paient pour ce qu'ils ont fait
- Bosco : Je crois qu'ils ont déjà payé, ils ont eu la trouille de leur vie, mais ils ne veulent pas que vous vous en aperceviez...Laissez les partir.... on va rester tous les deux et résoudre le problème.... Laissez les s'en aller maintenant
- Léonard : ....d'accord
Toute la famille se lève de table et s'en va
- Bosco (au père) : Aidez le serveur à marcher ou c'est moi qui vous descends
- Léonard : Alors qu'est ce qui va se passer ?
- Bosco : Ca dépend de vous, vous déposez les armes et vous vous en tirez
- Léonard : On va me mettre en tôle ?
- Bosco : Léonard, vous avez tiré sur quelqu'un.
- Léonard : Et... le fait que je vous ai visé et menacé, ...ça doit faire un max ?
- Bosco : Non, en menant votre famille devant un tribunal, vous aurez des circonstances atténuantes, vous irez à l'hopital, vous verrez un psy, ça sera pas si terrible.
- Léonard : Je veux être certain qu'ils pourront pas venir me rendre visite.
- Bosco : .....On y va.....
- Léonard : Est-ce que c'est comme ça que ça se passe d'habitude ?
- Bosco : ouais...

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