SCRIPTS / CAPTURES D'ECRAN

SAISON 2

Episode 20 : "Suivre sa voie "
"Man enough"

  • Doc a donné rendez-vous à Sarah

    - Doc : Salut
    - Sarah : Salut ! ... une cravate ?? Mais qu'est ce qui se passe ?
    - Doc : Je t'aime Sarah
    - Sarah : M
    oi aussi je t'aime
    - Doc : Viens
    - Sarah : Qu'est ce qu'on fait ici ?
    - Doc : Hum ... je me disais que
    - Sarah : Doc, j'ai une très bonne nouvelle
    - Doc : Oui d'accord, attends attends, moi d'abord. D'accord ?
    - Sarah : Vas-y
    - Doc : Bon alors, je me disais que ... je veux avoir des enfants
    - Sarah : mmh
    - Doc : Avec toi... je me disais qu'on devrait peut-être se lancer mais ... avant on doit ...



    - Doc (en sortant un petit boîtier de sa poche) : Tiens, c'est pour toi
    - Sarah : Oh mon chéri
    - Doc : Alors, tu n'ouvres pas ? Allez, dépêche-toi, ouvre-le !
    - Sarah : oui, d'accord
    - Doc : Dépêche ! Dépêche !
    - Sarah : oui ... oui !
    - Sarah (en ouvrant le boîtier) : Oh mon Dieu ! Il est énorme ! Tu es malade ! Mais chéri, tu n'aurais pas dû, c'est beaucoup trop !
    - Doc : Je vais le rapporter si tu veux
    - Sarah : Oh oui, essaie !! Oh mon Dieu, elle est magnifique ! Waoouuhh !!!



    - Doc : Alors, est-ce que c'est oui ?
    - Sarah : C'était quoi la question ?
    - Doc : Tu veux que je te le demande, c'est ça ?
    - Sarah : oui
    - Doc : Sarah Christina, veux-tu m'épouser ?
    - Sarah : Tu peux être sûr que je le veux.



    Ils s'embrassent
    - Doc : Attends, attends, on pourrait continuer ça à l'intérieur
    - Sarah : A l'intérieur ?
    - Doc : Oui, un gars que je connais nous laisse visiter cet appart avant qu'il soit en vente, comme ça on pourra avoir le meilleur de tous
    - Sarah : Et bien moi ce que je voulais te dire c'est que j'ai un entretien d'embauche pour devenir directrice du service des urgences.
    - Doc : Oh, c'est génial ! Comme ça, avec tout cet argent supplémentaire, ça nous fera un plus gros apport personnel. Allez viens !
    - Sarah : Doc ... ce travail est à Philadelphie
    - Doc : ...






  • A la caserne :

    - Jimmy : Alors ?
    - Doc : Quoi ?
    - Jimmy : Alors, qu'est ce qu'elle a dit ?
    - Carlos : Tout le monde était au courant sauf moi ?
    - Doc : Et bien, chers amis, la réponse est ... oui
    - Jimmy : Génial ! Doc Félicitations !
    - Doc : Merci



    - Carlos : Elle n'a pas dit que ça
    - Doc : ...
    - Carlos : J'aimerais profiter de cette occasion pour annoncer que Doc prend sa retraite
    - Doc : Ooh, ça va, la ferme !
    - Alex : Quoi ? Qu'est ce qui se passe ?
    - Doc : Il prend ses rêves pour des réalités
    - Carlos : Son médecin chéri postule pour diriger un hôpital à Philadelphie
    - Doc : Les urgences! Pas tout un hôpital !
    - Jimmy : C'est vrai ?
    - Alex : Tant mieux pour elle
    - Alex (à Carlos) : Tu t'occupes des dossiers ?
    - Carlos : Tu délires ! C'est MON ambulance
    - Alex : Oui mais j'ai plus d'ancienneté



    - Doc : Ca n'est que pour deux jours ! Conduisez-vous en adultes !
    - Jimmy : Vous emmenagez à Philadelphie ?
    - Doc : Non, elle n'aura certainement pas le poste.
    - Carlos : Les filles canons décrochent toujours les postes
    - Doc : Hey !
    - Carlos : Quoi ? J'ai pas le droit de dire qu'elle est canon ?
    - Doc : NON ! Tu n'as pas le droit!



    - Doc : Un de ses amis lui a obtenu un entretien grâce à ses relations. Je crois pas que ça ira plus loin que ça
    - Jimmy : Oui et bien je mets une option sur ton appartement si tu pars
    - Doc : C'est bon, arrête ! Ce genre de choses ça n'arrive jamais.
    - Carlos : Ca n'arrive pas en faisant un travail comme le tien mais Moralès est bien au dessus
    - Doc : ...
    - Carlos : Mais dis-moi, est ce que tu vas changer de nom ? Tu t'appelleras Monty Moralès ou Madame le Docteur Moralès ?
    - Doc : ...






  • Dans l'ambulance :

    - Carlos : Alors, tu vas y aller ?
    - Doc : Il y a des chances
    - Carlos : Combien elle sera payée ?
    - Doc : Ca ne te regarde pas Carlos
    - Carlos : Ouh ! Ca veut dire un max. Assez pour te reposer et jouer au golf



    - Doc : Je vais travailler comme toujours d'accord. Le patron a dit que je pourrais même peut-être devenir instructeur.
    - Carlos : Oh bon sang ! Tu vas être le secouriste le plus friqué d'Amérique !
    - Doc : ...
    - Carlos : Tu t'habitueras très vite à la vie facile. Je suis prêt à parier que dans moins d'un an tu t'arrêteras de bosser et que tu deviendras une PL.
    - Doc : Une PL ??
    - Carlos : Une Poule de Luxe
    - Doc : ...



  • Ils descendent de l'ambulance pour aller soigner un homme qui s'est fait taper sur la tête.

    - Carlos : Oh, attends. J'ai une idée. Tu pourrais aller avec des tas d'autres PL. C'est vrai, il doit y avoir un immense vivier, c'est génial
    - Doc : Carlos, la ferme !
    - Carlos : Une fois que t'assures une promotion comme ça, ta relation de couple se déteriore inévitablement donc tu dois te remettre à la recherche d'une épouse très riche et sexy pour ...
    - Doc : Ca suffit !! Je t'ai demandé de la fermer, d'accord ?
    - Carlos : Je plaisantais
    - Doc : Pas moi ! T'entends ?! Alors plus un seul mot au cours de cette garde qui n'ait rien à voir avec les soins des patients ! T'as compris ?
    - Carlos : oui



  • Ils arrivent sur les lieux où Bosco et Yokas sont déjà là.

    - Bosco (à la foule) : Qu'est ce que je vous ai dit ? Reculez ! C'est pas un cirque ici ! Si vous êtes pas médecin, du balai ! Je veux voir personne !
    Un homme auquel il manque un bras s'approche
    - Homme : Je suis médecin, je suis médecin
    - Bosco : C'est vrai ?
    - Homme : Le Docteur de l'amour mon pote.



    - Faith (avec une girafe dans la main) : Un des cambrioleurs l'a frappé à la tête avec ça
    - Victime : Vous imaginez ça. C'est pas trop grave ?
    - Faith (à Doc) : Tu t'en occupes ?



    - Bosco : Eh, joue pas les gros bras. Maintenant écoute bien, va te mettre là bas ou je te coupe l'autre main et je te fous des claques avec !
    - Faith : Doc, je voulais aussi te féliciter, j'ai appris que Moralès avait eu ce boulot
    - Doc : Oui, ils lui ont offert le poste
    - Faith : C'est une bonne nouvelle Doc
    - Doc : Je peux te parler plus tard ?
    - Faith : Oui, bien sûr. Ca va ?
    - Doc : Oui, oui. Ecoute, préviens moi par radio quand vous ferez une pause pour dîner
    - Faith : Oui, je t'appellerai



    - Faith (à Bosco) : Qu'est ce qui se passe ?
    - Bosco : Rien
    - Homme : Tu rigoles, demi-portion ? Dans la police, il y a pas une taille minimum à avoir ?



    - Bosco : Approche
    - Homme : Je peux exploser n'importe qui moi ! J'ai des flingues !
    - Bosco : Il fallait que t'en arrives là, hein ?
    Bosco passe une menotte à la main gauche de l'homme puis cherche un autre endroit ou accrocher l'autre menotte.
    L'homme n'ayant qu'un bras, Bosco accroche l'autre menotte à la cheville.




    - Faith (à Bosco) : Et maintenant ?? Qu'est ce que tu as l'intention de lui faire ?
    - Bosco : J'en sais rien, il m'a cherché, il m'a pris la tête, il m'a trouvé
    - Faith : Essayons plutôt de trouver ce gars qui a frappé ce monsieur à la tête. Celui là est un vrai criminel
    - Bosco : Il m'a gonflé ! Qu'est ce que je dois faire avec un abruti pareil, hein ? Faut que je me laisse emmerder, c'est ça ?



    L'homme menotté commence à s'echapper péniblement.
    - Faith : T'es bon pour une poursuite ! Attention, il a dit porter des armes de poing
    - Carlos : C'est qu'une demi-menace
    - Bosco (à l'homme) : Eh, doigts de fée ! Attends-moi !!
    - Faith : On combat le crime.






  • Doc et Faith au resto :

    - Faith : Qu'est ce que tu entends par "comment ça marche ?" ?
    - Doc : Oui, je veux dire, vous deux vous avez réussi par trouver une sorte d'arrangement inhabituel
    - Faith : Oui en fait, il faut arriver à dépasser les stéréotypes classiques sur ce que le mari doit faire et ce que la femme doit faire, ça ça te bouffe la santé. C'est vrai, regarde Fred, il a de très grosses responsabilités, et en fait, je l'admire beaucoup, maintenant il passe pas mal de temps avec les enfants et je l'envie tu sais mais en fait ce qui se passe c'est qu'il y arrive mieux avec eux que moi. Lui il est beaucoup plus patient. Pour Fred, son boulot, c'est juste un boulot, tu vois, alors que pour moi .. je pourrais jamais cesser d'être flic, j'ai besoin de sentir que je fais partie du monde, que je fais quelque chose, mais pas Fred. Non, il n'en a absolument rien à faire d'être un membre actif de la société. Je crois que si je gagnais beaucoup, il quitterait immédiatement son boulot pour devenir père au foyer, il emmenerait les enfants au parc, il jouerait au foot avec ses copains, c'est son idée du bonheur. Je trouve que tu as de la chance. Je trouve que tu as beaucoup de chance. Tu as la possibilité de souffler un peu et de décider de ce que tu vas faire du reste de ta vie.






  • Dans l'appartement de Doc et Sarah :

    - Sarah : Hey ! Qu'est ce que tu fais là ?
    - Doc : Sarah, on va pas y aller
    - Sarah : Quoi ?!
    - Doc : Ecoute, toute cette histoire est un fantasme, pas vrai ? Alors on va se payer l'appart qu'on a visité et on va continuer de vivre ici à New York où nous habitons. On peut pas tout plaquer ici juste pour pouvoir être mieux payés.
    - Sarah : Il ne s'agit pas que d'argent pour moi Doc
    - Doc : Tu veux t'élever un petit peu dans la société ?
    - Sarah : Non, je veux faire progresser ma carrière.



    - Doc : La fillette du ghetto a les yeux qui brillent en s'imaginant rentrer chez elle victorieuse ?
    - Sarah : Pas si vite. La fillette du ghetto ?
    - Doc : Oh mais j'essaie simplement d'être un peu réaliste
    - Sarah : Pourquoi tu ne peux pas le faire ? Pourquoi tu ne peux pas venir avec moi ? Quoi ? Tu veux pas quitter New York ?
    - Doc : Non, c'est pas ça
    - Sarah : C'est quoi ?
    - Doc : Je dois être l'homme de la maison
    - Sarah : ...
    - Doc : Je veux prendre soin de toi, je veux t'offrir plein de choses, je veux que tu sois la mère de mes enfants, je veux aussi que tu sois ma femme. Qu'est ce qu'il y a de mal à ça ?
    - Sarah : Il n'y a rien de mal à ça. Mais je suis médecin. Je veux dire, je ne suis pas moins une femme pour autant, c'est une partie de moi
    - Doc : Je sais. Oui je le sais mais j'ai besoin que ma femme soit bien .. ma femme, ma compagne. La mienne.
    - Sarah : Je serai vraiment ta femme
    - Doc : T'as pas besoin de moi
    - Sarah : Bien sûr que si Doc. J'ai infiniment besoin de toi
    - Doc : Non ... non, je t'en prie Sarah, tu le sais très bien. Ce que tu fais est très important pour toi. Je regrette, je ne peux pas renoncer à mes désirs et ne plus vouloir ce que je veux
    - Sarah : Oh, une femme comme Déborah ?... Et bien, je ne peux pas faire semblant d'être quelqu'un d'autre
    - Doc : Moi non plus Sarah. J'aimerais y arriver mais je ne peux pas
    - Sarah : Il faut que je prenne ce travail Doc
    - Doc : Je ne peux pas aller avec toi.
    Sarah dépose l'alliance sur la table
    - Doc : Je t'aime Sarah
    - Sarah : Je t'aime aussi



Vos commentaires sur cet épisode, cliquez ici
RETOUR