- A la caserne :
- Carlos : Tu lis quoi comme numéro là ? Tu vois un 4 ou un 9 ?
- Doc : Qui est ce Timy ?
- Carlos :
C'est Temy. Temy l'infirmière ! Je t'en ai parlé, c'était quand j'étais à l'hopital, la bombe sexuelle, l'extase silencieuse ...
- Doc :
Oh oui oui oui, comment ai-je pu oublier ça !
- Carlos : Cette fille est peut-être formidable au lit mais elle ne sait pas se servir d'un stylo. C'est une pizzeria qui répond à ce numéro ... Est-ce que ce 8 serait un 3 ?
- Doc : Tu sais, peut-être qu'elle t'a filé un mauvais numéro
- Carlos : Pourquoi elle aurait fait ça ?!
- Doc : Selon toi ? ...
  
-
Carlos : Non, non aucune chance, crois-moi, je l'ai laissée en redemander !
- Doc : Ouais, je n'en doute pas
- Carlos : Au fait, devine qui j'ai vu cette nuit là
- Doc : Quelle nuit ?
- Carlos : A l'hopital !!
- Doc : ...
 
- Carlos : Jerry Manckovitz
- Doc : Ah oui ?!
- Carlos : Ouais, il rendait visite à ce jeune type qui a été paralysé
- Doc : ...
- Carlos : D'ailleurs, si je l'avais pas vu, je ne serais jamais sorti avec elle.
- Doc : Attends
une minute, Jerry allait voir Ryan Buckley ?!
- Carlos : Je ne sais pas comment il s'appelait
- Doc : Qu'est ce qu'il faisait là ?
- Carlos : Je ne sais pas, je veux dire, mes souvenirs sont un peu brumeux et Temy ...
Carlos qui tente une nouvelle fois de joindre Temy au téléphone, réussit à avoir quelqu'un au bout du fil.
- Carlos (en prenant une voix grave) : Allo, c'est toi Temy ? .... Euh ....
Mais la personne lui raccroche au nez
- Doc : Est-ce que tu as parlé à Jerry ?
- Carlos : J'ai pas eu l'occasion tu sais. Il s'agit quand même de l'infirmière la plus sexy du monde, tu piges ?!
 

- Jimmy arrive à la caserne avec 10 minutes de retard parce qu'il a dû déposer Joey à l'école, juste au moment où les pompiers sont appelés sur une intervention
-
Lt Johnson : Ecoute Jimmy, je t'aime bien tu sais mais t'es pas le seul type qui a un enfant à charge
 
- Lombardo : Quand est ce que Kim le voit ?
- Jimmy : Elle le voit un jour sur deux mais c'est moi qui le mets au lit, qui fais le petit déjeuner, qui l'amène à l'école et qui viens le rechercher, ensuite le dîner, le bain, les devoirs
- Lombardo : Demande à Kim de s'en occuper plus souvent
- Jimmy :
Ouais c'est ça je viens juste d'obtenir la garde de notre fils et maintenant je vais aller lui demander de m'aider !
- Prescott : T'as enlevé ton fils à sa mère ?!
- Jimmy : ...
- Prescott : Je veux seulement dire que pour une mère, perdre la garde, c'est vraiment dur
- Jimmy : Mêle toi de tes affaires !
-
Lombardo : Et Kim, elle le prend comment ?
- Jimmy : Plutôt bien, à ma grande surprise
 

- Au même moment, Alex et Kim dans l'ambulance
- Kim : Je lui arracherais bien le coeur, tu sais
- Alex :
Tu ne donnes vraiment pas cette impression
- Kim : Inutile de lui montrer, c'est lui qui a toutes les cartes, pour l'instant en tout cas.
- Alex : Tu vas faire appel ?
- Kim :
Oui bien sûr, dès que je gagne à la loterie
 

- Bosco et Yokas et les pompiers sur les lieux d'un accident :
- Lt Johnson : Bosco ! Vous avez appelé un dépanneur ?
- Bosco : Vous me demandez de le faire ?
-
Lt Johnson : Je te demande seulement si ça été fait
- Bosco :
Non, mais j'y vais...
 
- Jimmy (à Faith, en parlant de Bosco) : Ca pas l'air d'aller bien
- Faith : Il a été mis à rude épreuve
- Lt Johnson : Et alors ? Il est pas le seul ! ...
 

- Davis et Sully en voiture :
- Sully : Pourquoi tu gardes ça secret ? Je comprends pas. C'est pas comme si toi et Taylor vous étiez les premiers dans ce travail à vous être mis ensemble
- Davis : C'est ce qu'elle veut, elle est bizarre
- Sully : Bon, et ça se passe bien ?
- Davis : C'est ...
ça se passe
- Sully : Comment ça, ça se passe ? Ca se passe, ça se passe ... T'en as déja marre ?!
- Davis : Non non, c'est pas ça, j'en ai pas marre du tout ... Ca va bien ... Question sexe, j'avoue que c'est absolument génial
- Sully : Pour le livre des records, je t'ai rien demandé
- Davis : Je ne sais pas ce qu'il en est. Je pensais qu'on avait des choses en commun, ne serait-ce que la mort de notre père, on en a beaucoup parlé. C'est comme si on les enterrait une seconde fois. Mais après ça on a plus grand chose à se dire
- Sully : Tu parles d'une surprise ... : Taylor
-
Davis : Ouais ...
- Sully : Et si son père était encore en vie ...
- Davis : Qu'est ce que tu veux dire par là ?
- Sully : Et bien, tu sais, il faisait partie de la vieille école
- Davis : Quoi, la vieille école ?? Qu'est ce qu'il y a ?
- Sully : C'était un type génial, plus ouvert que la plupart de ses contemporains, non mais ce que je veux dire que pour sa propre fille...
- Davis : Sa propre fille ? Quoi ? Ca lui aurait posé un problème ?
- Sully : Non, j'ai pas dis que ça lui aurait posé un problème
- Davis : Ca TE pose un problème ?
- Sully : Commence pas ...
- Davis : Et pourtant, tu y as bien pensé.
- Sully :
Oui Davis, ça me pose un gros problème, je ne sais pas comment je vais réussir à dormir en pensant à un grand black comme toi avec une charmante jeune fille blanche
- Davis : Ce que je veux dire c'est que normalement, on devrait même pas y penser
- Sully : Comme si toi tu n'y pensais pas ! Est-ce que tu en as déja parlé à ta mère ?
- Davis : Mais enfin pourquoi ? Ca ne regarde absolument pas ma mère !
- Sully : Et si moi je lui dis deux mots, t'es tout de suite prêt à m'égorger
- Davis : ... Ca n'aurait pas fait plaisir à son père ?...
- Sully : Ecoute, je ne fais pas parler les morts, je veux juste dire qu'il était de son temps
- Davis : Il était de son temps ...
- Sully :
Un blanc de la classe ouvrière, dans le contexte de l'époque, tu peux en tirer des conclusions
  

- Dans l'amulance, Doc et Carlos sont au téléphone chacun de leur coté. Doc appelle Cathy, la femme de Jerry pendant que Carlos tente désespérément de joindre Temy
- Doc : Oui, ça fait un bout de temps qu'on ne s'est pas vus Cathy. Je passerais bientôt c'est promis
- Carlos :
Je ne connais pas son nom de famille, son prénom c'est Temmy, elle travaille en tant qu'infirmière au cinquième étage.
- Doc :
Non, j'ai le numéro de portable de Jerry mais j'ai besoin de le joindre rapidement. Tu as une idée de l'endroit où on pourrait le trouver ?
- Carlos : Non, je ne veux pas avoir son service, je voudrait juste vérifier le numéro qu'elle m'a donné : 212-918-3125
- Doc : Il travaille pour un avocat maintenant ?! Vraiment ?! Spécialisé dans les affaires médicales ?
- Carlos :
Je ne vous ai pas demandé de me donner son numéro de téléphone Madame, mais de me confirmer celui qu'elle m'a donné, c'est tout.
- Doc : Oui, j'aimerais avoir l'adresse
- Carlos : Est-ce que je me suis fait clairement comprendre ?
-
Doc : Oui, très bien, merci Cathy
- Carlos : Allo ?
- Doc : D'accord
- Carlos : Allo ?
- Doc : Moi aussi
- Carlos : La vache ! Nan mais t'arrives à le croire ça ??!!
- Doc (en raccrochant) :
Non. ... Non, je peux pas
 

- Doc attend Jerry à la sortie de son travail pour lui demander des explications
-
Doc : Salut Jerry
- Jerry : Ah Doc !
- Doc :
Tu travailles pour un avocat maintenant ?
- Jerry : ...
- Doc : J'ai l'impression que t'as oublié de me le dire la dernière fois que je t'ai vu. ... Et Ryan Buckley est son client
- Jerry : Ecoute Doc, je voulais t'en parler ...
- Doc (en se jetant sur Jerry) : Espèce de salaud ! Tu t'es bien foutu de moi !!
- Jerry : Eloigne-toi de moi ! Qu'est ce qui te prend ?!
- Doc : Pourquoi Jerry ??!
Comment as-tu pu me faire ça ??!
- Jerry : Parce que c'est mon travail ! Pigé ? Et j'en ai bien besoin ! Tu verras un jour, cette pension ne va pas aussi loin qu'on pourrait le croire !
- Doc : Mais tu m'as trompé ! Jerry, comment as-tu pu me tromper ?
- Jerry : Je voulais connaitre ta version des faits Doc, ok ? Toutes les versions. Ces avocats me paient uniquement pour tout ce qui est enregistré là. C'est ce qu'ils veulent, ils m'embauchent c'est pour ce que j'apprends.
- Doc : Non, pour tromper tes amis. Parce que c'est ce que tu fais : tu trompes tes amis !
- Jerry : ... Ecoute, j'ai froid. T'as pas froid toi ?
  
Ils continuent leur discussion à la pizzeria juste à coté
- Jerry : Si tu crois que j'avais l'intention de te nuire, t'es fou. Tout ce que je fais c'est étudier les dossiers. Je relis les déclarations, je fais des recommandations et parfois je fais le tri entre les affaires qui ont l'air fumeuses et les autres.
- Doc :
C'est très valorisant ...
- Jerry : Oui, ça l'est. J'ai pu aider quelques mecs et quand j'ai vu ton nom sur la liste des affaires à suivre, je m'en suis chargé. J'ai pensé que si je pouvais t'aider et bien je le ferais
- Doc : Ah, parce que c'est pour m'aider maintenant ?
- Jerry (en prenant sa part de pizza) : T'es sûr que t'en veux pas une ?
- Doc : Et la plainte contre moi ?
Où ça en est ?
- Jerry : Pour l'instant, il n'y a pas de plainte. Ils recherchent toujours des informations
 
Jerry s'assoit à la table
- Jerry : Tu as fais une très grave erreur. Et vidéo à l'appui
- Doc :
Tu l'as vue ?
- Jerry : Quand le collier cervical est placé, il ne faut jamais l'enlever
- Doc : Je sais, je sais
- Jerry : C'est sur la cassette Doc, qu'est ce que tu veux que je fasse ?
-
Doc : J'en sais rien
  
Carlos entre dans la pizzeria
- Carlos : Bonsoir !
- Doc : Je ne crois pas qu'il y ait eu d'appel
-
Carlos : J'avais un petit creux. Je peux avoir une part ?
- Doc : Carlos .... On ...
- Carlos (en serrant la main de Jerry) : Ca fait un bail !
Mais Jerry n'a pas l'air de se souvenir de Carlos
- Carlos : Carlos Nieto, vous m'avez peloté les fesses
- Doc : Carlos !
- Carlos : Lors de mon premier jour de travail, vous m'avez peloté les fesses voulant faire croire ...
- Jerry : Voulant faire croire ? ...
-
Carlos : C'est marrant ça
- Doc : Ouais, c'est un sacré rigolo. Allez viens on y va
  
- Jerry : Hé Doc !
- Carlos : Je suis surpris que vous vous en souveniez, c'était mon premier jour et vous le dernier, c'est l'année où vous avez ...
- Jerry : !!
- Carlos : Oh ... euh, désolé. Je ne voulais pas vous rappeler de mauvais souvenirs. En tout cas, vous avez l'air assez en forme. Heureusement que Doc était là pour s'occuper de vous, moi j'étais largué !
  
-
Jerry : ... Vous m'avez monté ce numéro ?? Hein ?
Doc sort de la pizzeria exaspéré par l'attitude de Carlos
- Carlos : Quoi ?!! Qu'est ce que j'ai dit ?!!!!
  

- Bosco et Yokas arrivent au poste avec un homme ivre
- Homme : Il doit faire -50° dehors ! Et les serveurs de cet hôtel snobinard osent refuser de me servir un simple Irish Coffee !
- Yokas : Plaignez-vous par écrit la prochaine fois
Bosco emmène l'homme devant la cellule et lui enlève les menottes
- Bosco : Allez !
- Homme : Oh, force moi !
 
Mais Bosco ne réagit pas alors Yokas force l'homme à rentrer dans la cellule
- Homme : Alors c'est comme ça que ça se passe ? Tu envoies les femmes se battre à ta place ? Officier Boscorelli. T'es rital, j'imagine !
- Bosco : ... Allez, va cuver grand père
- Homme : Grand-père ! Oh, je te botte ton cul de rital quand je veux, morveux !
  
Bosco sort de la pièce sans rien dire, suivi de Yokas
-
Yokas : Hey, tu vas bien ?
-
Bosco : Oui, pourquoi ??!
- Yokas : Pourquoi ? ... Pour ça !
-
Bosco : Et alors ? Il est bourré ...
  
- Yokas : Regarde-moi ... Tu n'es plus toi-même
- Bosco : Ah ouais ?! Et qui suis-je ? Hein ?
- Yokas : ...
- Bosco : Ca va. Me prends pas la tête. Laisse tomber ce genre de trucs.
  

- Yokas va voir Swersky pour lui parler de Bosco
- Swersky : On lui a proposé de bénéficier du soutien de nos psys, après l'histoire avec Hobart
- Yokas : Oui mais on ne peut pas s'attendre à ce qu'il y aille de lui-même. C'est comme ces conseillers du 911, il ne veut même pas savoir qu'ils existent
- Swersky : Tu crois qu'il en a besoin ?
- Yokas : Oui, il est complètement éteint. Il agit comme s'il n'était plus qu'une machine
  
- Swersky : Aucun risque pour qu'il soit dangereux pour lui-même ou les autres ?
- Yokas : Non, non !
- Swersky : Je suis forcé de te le demander
- Yokas : Je sais bien mais c'est pas ce que je voulais dire, je voulais dire que ça lui ferait certainement du bien de parler à quelqu'un
- Swersky : D'accord, je veilleraià ce qu'il le fasse
- Yokas : Ca serait bien
- Swersky : Et on en a jamais parlé
- Yokas : Ca serait encore mieux. Merci Lieutenant.
  

- Doc emmène Jerry près du fleuve
- Doc : Tu n'étais pas monté là dedans depuis longtemps
- Jerry : Oh oui, très longtemps, ça fait bizarre
- Doc : J'imagine
- Jerry : Et toi, tu ne te sens pas trop gêné d'avoir laissé ton partenaire derrière ?
-
Doc : Il peut me joindre par radio et on est pas très loin
-
Jerry : Je peux savoir où on va ?
-
Doc : On y est
- Jerry : Le fleuve ?!
Déja c'était pas très sympa de me tirer de mon lit la nuit la plus froide de l'année, c'est quoi la suite ? Tu veux me noyer ?
- Doc : Tu ne te souviens pas de cet endroit ?
- Jerry : ... Qu'est ce que tu veux ?
- Doc : Tu ne peux pas imaginer ce que je peux recevoir comme compliments, le nombre de personnes qui me disent que je suis extraordinaire, que je fais du super boulot
- Jerry : Le meilleur secouriste de la ville
- Doc : Oui, ce genre de trucs débiles. Je pensais qu'après le 11 septembre, on arrêterait de féliciter une seule personne au lieu de l'ensemble. Mais pas pour moi. Je fais seulement mon travail comme tu me l'as appris
- Jerry : Hey, quoi que ce soit que j'ai pu t'apprendre, mon ami, tu l'as amélioré
- Doc : Tu le penses ?!
- Jerry : Oh oui !
- Doc : Et bien, tu sais Jerry,
c'est pas tellement dans mes habitudes de me servir de la grosse armure mais j'ai fait quelque chose ce soir qui m'a rappelé pourquoi je faisais ce travail et pourquoi j'étais aussi passionné par ce travail. Vraiment si tu m'avais vu, tu aurais été fier
- Jerry : Oh, ça je n'en doute pas
- Doc : C'est grace à ce que j'ai appris avec toi. Je me suis souvenu de la fille que tu as secourue un soir près de ce fleuve.
  
- Jerry (en descendant de l'ambulance) : Pourquoi tu fais ça ?
- Doc (descendant à son tour) : Becky quelque chose c'est ça ? Ca s'est passé il y a combien d'années ? C'est juste ici qu'on l'a repêchée. Je me souviens que tu te posais des tas de questions après, te demandant si tu n'avais pas été trop imprudent de la bouger si rapidement.
- Jerry : Hé hé je n'ai rien fait à la hate !
- Doc : D'accord mais peut-être que si tu avais été plus lent, si tu avais pris un peu plus ton temps, son coeur aurait peut-être moins souffert et peut-être qu'elle aurait eu plus de chance de survie
- Jerry : Alors, ça veut dire quoi tout ça ? Je répète rien si tu répètes rien
- Doc : Répeter quoi ?! ... Continuer à chercher pourquoi elle est morte, mais ça ça ne sert à rien. Tu as fait de ton mieux, n'est ce pas ?
- Jerry : Oui mais ce n'est pas suffisant parfois
-
Doc : C'est trop facile de chercher l'erreur une fois que c'est fini. Tous ces gens qui passent des heures à critiquer des décisions prisent dans l'urgence, c'est absurde ! Mais toi Jerry, tu sais comment ça se passe sur le terrain. Tu dois prendre des décisions en une seconde que tu seras obligé d'assumer toute ta vie
  
- Jerry : C'est ce stupide film ! Si seulement t'avais pas été filmé Doc ! C'est irréfutable !
- Doc : C'est vrai ?!! .... Ecoute Jerry, ce soir, ça m'est tombé dessus, ... l'idée que cela pouvait me couter mon travail ... Je veux dire, le perdre c'est ... c'est perdre ce que je sais faire.
- Jerry : Je peux te dire que c'est pas évident
- Doc : Non Jerry, c'est beaucoup plus important pour moi. Toi, tu as Cathy, tes enfants ... Mais moi, je n'ai que ça ... et je n'ai rien d'autre. Je veux dire que si je n'ai plus ce travail, et bien il ne me reste plus rien dans la vie. Je vais vivre comment ? Qu'est ce que je vais faire ?
- Jerry : Je t'en prie Doc, tu n'as pas que ça dans la vie
- Doc : Non ! Jerry non ! Je n'aurai plus rien !
Je n'aurai plus de vie ! ... Je sais bien que j'ai fait une faute, je l'admets mais c'est ma vie qui est en jeu dans cette histoire ... Non, ça ne peut pas me couter ma vie entière Jerry
- Jerry (en s'en allant) : Je ne sais pas ...
  
- Doc : Jerry, laisse-moi te raccompagner
- Jerry : Non, je vais choper un taxi
- Doc : Jerry !
- Jerry : Laisse-moi tranquille, tu veux. ... Je suis désolé
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