- Bosco est chez le psy mais n'a pas décroché un seul mot de toute la séance :
- Psy : C'est fini pour aujourd'hui
- Bosco :
Et on va jouer longtemps à ce petit jeu ?
- Psy : Ca, ça dépendra de vous
- Bosco : Bien ! Alors c'est fini !
  
Bosco se lève pour partir mais le psy ne semble pas de cet avis
- Bosco : Oh allez ! Tout ça c'est de la blague
- Psy : C'est ce que vous avez dit en arrivant ici. J'en ai pris note, je n'ai que ça d'ailleurs
- Bosco :
C'est que tout va bien chez moi
- Psy : Alors
aidez-moi à l'établir
- Bosco :
Il suffit de l'écrire
- Psy : Désolé
- Bosco : Ecoutez, vous dites que ma partenaire s'inquiète pour moi. Vous la connaissez pas, elle réagit avec moi comme avec ses propres enfants. ... Ok ?
- Psy (en notant sur son cahier) : 14h, demain ?
- Bosco : ...
 

- Dans la salle de briefing :
- Swersky : Les choses vont être beaucoup plus bousculées que d'habitude alors prenez-le en compte. D'accord, écoutez-bien, il y a du changement dans l'organisation : Yokas et Guesler, vous serez dans le secteur David. Bosco et Ross, secteur Edouard. Très bien, ça sera tout, faites attention, regardez bien, dressez les oreilles et je vous en prie ne jouez pas les héros.
 
Tout le monde se lève et Yokas rejoint Bosco
- Yokas : Pourquoi tu fais ça ?
- Bosco : Je pensais que ça te ferait plaisir d'être libérée d'un type avec des problèmes mentaux
- Yokas : Bosco, je n'ai jamais dit que tu avais des problèmes m....
 
- Ross : Salut !
- Bosco : T'es prêt à monter en selle ?
- Ross : Monter en selle ?!
-
Bosco : Ouais. Je vais prendre les radios
- Ross (à Yokas) : Tu sais, je me passerais bien de ça ! Je ne sais pas ce qui s'est passé entre vous deux mais expliquez vous, vite !
- Bosco : Allons-y
- Ross : Très très vite
 

- Bosco et Ross prennent leur service :
- Ross : Qu'est ce qui s'est passé entre toi et Yokas ?
- Bosco : On ne développe pas ses talents en restant avec le même partenaire tous les jours
- Ross : Ses talents ?
- Bosco : Ouais, je t'ai vu au travail, vieux. Tu pourrais m'apprendre plein de choses, j'ai pensé qu'il était temps qu'on fasse équipe
- Ross : C'est pour mes talents alors ?
- Bosco : Tu penses pas que t'as quelque chose à m'apprendre ?
- Ross : Je croyais que tu ne m'aimais pas
- Bosco : Ah oui et qu'est ce qui te fait croire ça ?!
- Ross : Elle m'a dit que tu ne m'aimais pas
- Bosco : Il faut avoir plus d'humour ! (à la radio) : Central, ici 55 Eddy, on s'en va maintenant
- Central : Bien reçu 55 Eddy
 
-
Bosco : Alors qu'est ce que tu veux faire en premier ?
-
Ross : Un café est toujours le bienvenu
- Bosco : Bien reçu. Et t'as un lieu de prédilection ou ce qui compte pour toi c'est qu'il soit chaud ?
- Ross : J'aime bien le "Grec"
- Bosco : Chaud et mauvais alors
 
Ross se met à fredonner
- Bosco : Qu'est ce que tu fais ?!
- Ross : Quoi !
- Bosco : Qu'est ce que tu fais ?
- Ross : Bah, je chante
- Bosco : Pourquoi ?!
- Ross : Parce que ça m'arrive
- Bosco : Toute la journée ?
- Ross : Plus ou moins, ouais
- Bosco : ...
  
55 David et 55 Eddy se croisent.
 

- Davis et Sully mettent des contraventions
- Davis : Qu'est ce qui a pu se passer entre Bosco et Yokas ?
- Sully : J'en sais rien, je suis sûr que Bosco a fait quelque chose de stupide
- Davis : Il avait l'air plutôt énervé, non ?
- Sully : Ouais ... Dis, dans ton immeuble, il y a beaucoup de gens qui viennent te demander des services ?
- Davis : Qu'est ce que tu veux dire ?
- Sully : Est-ce qu'on vient te voir parce qu'une voiture bloque une entrée de garage ou des bruits suspects ou des trucs comme ça ?
- Davis : Je crois qu'ils ne savent pas que je fais ce boulot
- Sully : Nan ?!
- Davis : Peut-être qu'ils croient que je suis secouriste. Carlos porte sa veste d'uniforme partout où il va : pour descendre les poubelles ou quand il va acheter le journal, c'est ridicule
- Sully : Mes voisins savent que je suis flic
- Davis : Tu m'étonnes ! On s'arrête devant chez toi au moins trois fois par jour dans une voiture de police. ... En plus, tu sais, on devine tout de suite ton boulot. Tu as la coupe de cheveux et la démarche d'un flic
- Sully : La démarche ??!!
  
- Davis : Un peu comme un canard. ... Ouais, regarde : avec les bras ballants et en balançant les hanches. C'est comme si tu portais un ceinturon avec des flingues
- Sully : Je fais pas ça !
- Davis : D'accord
- Sully : J'te dis que non !
- Davis : J'ai dit d'accord
- Sully : Davis, je ne marche pas comme ça !
- Davis : Tu marches co...
  
- Central (à la radio) : 55 Charlie, un appel de l'hôpital de La Pitié. Allez voir Proctor aux admissions
- Davis : Central, où est l'unité concernée ?
-
Central : On vous a spécialement demandés
- Sully : Practor nous veux
spécialement ? L'infirmière ?
- Davis : Change pas de sujet ! (à la radio) : Hôpital de La Pitié, bien reçu central.
Davis regarde Sully marcher
- Davis (en rigolant) : Il faut te réeduquer !
- Sully : Je ne marche pas en canard !!
- Davis : Mais si regarde, tu fais comme ça !
 
- Davis et Sully arrivent à l'hôpital :
- Davis : Eh Mary, tu voulais nous voir ?
-
Mary : Sully, dis-moi, est-ce que tu t'es marié ?
- Sully :
Oui, il y a quelques mois, pourquoi ?
- Mary : Ta femme est ici. Son fils est blessé. ... Au fond du couloir, salle numéro 3
-
Sully : Merci

Tatiana est assise aux côtés de Sergeï
- Sully : Tatiana ?
- Tatiana : John !
- Sully : Qu'est ce qui s'est passé ?
- Tatiana : Ils lui ont fait mal. Regarde ce qu'ils ont fait à mon Sergeï
 
[...]
- Sully : Tatiana, je t'en prie, parle-moi, dis-moi ce qui s'est passé
- Tatiana : Ils l'ont tabassé
- Davis : Qui ça "ils" ?
- Tatiana : Je venais de franchir la porte de l'appartement et il était là dans le couloir
- Sully : Quel appartement ?
Notre appartement ??!
[...]
- Sully : Tatiana, tu sais qui a fait ça ?
- Tatiana : ...
  
[...]
- Sully : Je veux que tu me dises qui lui a fait ça
- Tatiana : Tu sais, c'est un problème qui est propre à notre communauté
- Sully : Tes problèmes sont mes problèmes
- Tatiana : Ils sont vraiment dangereux, je ne veux pas qu'il lui arrive quelque chose d'encore plus terrible
- Sully : Ecoute, si tu pouvais me dire qui lui a fait ça, je pourrais m'en charger
- Tatiana : Ce n'est pas comme ...
- Sully : Ce n'est pas comme quoi ?!
- Tatiana : Ce n'est pas comme un de nos voisins qui bloque une entrée de garage !
- Sully : Qu'est ce que ça veut dire exactement ?
  
- Tatiana : Que si jamais tu t'approches de ces gens, ça finira mal pour toi
- Sully :
Tu ne crois pas que je sois de taille ?
- Tatiana : Non, je suis désolée, mais cette fois je ne crois pas que tu en sois capable
 

- Yokas et Guesler sont appelés pour une dispute conjugale mais, arrivés sur les lieux, ils découvrent plusieurs cadavres russes torturés.
Le sergent Beth Markham ouvre une enquête pendant que Yokas et Guesler interrogent les voisins, sans succès ...
-
Yokas : Ca a dû faire autant de bruit que la troisième guerre mondiale et pourtant personne n'a rien entendu
Le Sergent Markham sort de l'appartement du crime en s'allumant une cigarette
- Yokas : Salut Beth, je croyais que t'avais arrêté de fumer
- Markham : Une bonne centaine de fois ... (à Guesler) : T'es nouveau ? C'est toi qui a marché dans le sang j'imagine ?
- Guesler : J'ai trébuché
  
- Markham : C'est les lieux d'un crime ici. Je vais devoir prendre tes semelles en photo. Tu passes au poste tout à l'heure ?
-
Guesler : Oui m'dame
- Markham (à Yokas) : Qui est ton partenaire ?
- Yokas : .... Alors, hum ... tu penses quoi de cette affaire ?
 
- Markham : Tu as déjà vu ça ? (en montrant les tatouages qu'un des cadavres a sur le corps) La toile d'araignée signifie que c'est un junkie et dans la mafia russe, tous les tatouages ont leurs significations
 
- Yokas : Ils se laissent repérer ?
- Markham : Oui
- Yokas : J'aimerais bien que les dealers et les junkies fassent de même, ça serait plus facile de les identifier
- Markham : La dernière chose dont les Russes aient peur, c'est bien de nous. Après un séjour dans le goulag, nos prisons ont l'air de vrais palaces
- Yokas : Une histoire de trafic ?
- Markham : Oui, c'est probablement un message de la part d'un nouveau caïd. Si c'était juste pour la drogue, il n'avait pas besoin de les torturer comme ça. ... Vous avez été voir les voisins ?
- Yokas : Hum oui (à Guesler) : Passe-moi le rapport. Ils n'ont rien vu et beaucoup ne voulaient même pas nous ouvrir leur porte. Le moins farouche c'est le vieil homme qui habite juste là. Il a laissé Guesler entrer pour se laver les mains
- Markham : Comment leur en vouloir... (à Guesler) : Regarde où tu marches la prochaine fois !
- Guesler : Oui madame
  
- Guesler : Désolé pour le sang, je n'avais pas vu
- Yokas : Ca va c'est bon
- Guesler : Alors, qu'est ce qu'on fait maintenant ?
-
Yokas : Ce qu'on fait ?! On fait notre travail, alors écris !


- Guesler et Yokas toujours devant l'appartement où a été commis le meurtre
- Yokas :
On va y passer toute la nuit
- Guesler : Je crois que j'ai laissé ma montre dans l'appartement du vieux
-
Yokas : Tu plaisantes ?!
- Guesler : Je l'avais avant de me laver les mains
Yokas frappe à la porte de l'appartement du vieil homme
- Mr Doleska : Qui est-ce ?
- Yokas : C'est la police, monsieur
Mr Doleska ouvre la porte
- Yokas : Désolée de vous déranger à nouveau Monsieur mais mon partenaire là, pense avoir oublié sa montre sur votre évier et on se demandait s'il serait possible d'aller vérifier
Mr Doleska les laisse entrer et Guesler va récupérer sa montre
- Guesler : Je l'ai !
 
- Yokas : C'est terrible ce qu'il s'est passé à coté
- Guesler : Elle était sur l'évier
- Yokas : Sur ces photos, ce sont vos petits enfants ?
- Mr Doleska : Oui
- Yokas : C'est dommage, vous savez ces gamins à coté, ils ne devaient même pas avoir vingt ans, ils avaient la vie devant eux. Parfois je me demande quel genre de monde on va laisser à nos enfants. Comme si les problèmes qu'on ne voulait pas régler aujourd'hui allaient revenir, vous voyez ? Pour devenir les leurs ...
- Mr Doleska : ...
- Yokas : Vous avez peur ?
- Mr Doleska : ...
- Yokas : On y va. Allez
 
- Mr Doleska : ... Ils sont toujours ici. Ils nous observent. Vous ne pouvez pas comprendre
 
- Yokas : Oui, c'est vrai, je ne comprends pas. Tout ce que je sais c'est que cinq personnes ont été tuées et qu'apparemment personne n'a rien vu. Ce qui veut dire que les meurtriers peuvent revenir et tuer d'autres personnes. Si vous ne voulez rien nous dire, ça vous regarde, c'est à vous de choisir... Mais je ne pourrais pas vivre dans cet immeuble
- Mr Doleska : ... Vous avez
entendu parler de Vori Vesakonia ?


- Bosco attend l'arrivée de la deuxième ambulance sur les lieux de la fusillade
- Bosco : C-Note ! Ca faisait longtemps que je t'avais pas vu ! On dirait que Big Henry se met à dégommer tes gars, hein ?
- C-Note (en passant sous le ruban de sécurité) : Mais c'est pas un de mes gars là, mec. C'est mon frère !
 
- Bosco : Wo wo wo, c'est les lieux d'un crime, tu ferais mieux de te calmer et de pas faire de conneries
- C-Note : Ecoute mec, c'est la troisième fois que j'ai un frère qui se fait descendre comme ça, dans ce putain de délire, mec !
- Bosco : Je suis désolé pour toi mais tu dois aller derrière le ruban. Allez, tu vas derrière le ruban !
- C-Note : C'était le bébé de la famille, mec. ... Ma mère, je sais pas comment je vais lui dire ça
- Bosco : Moi non plus !
  
- C-Note : Je lui avais dit de rester en dehors de ça mais il a pas voulu m'écouter celui là, il m'a jamais écouté
- Bosco : Tu sais qui a fait ça ?
... Qui a fait ça ?
- C-Note : Tu veux savoir qui a fait ça ? Mais cette guerre est sans fin Boscorelli
 
- Bosco : Et si j'y mettais fin pour celui qui l'a descendu ?
- C-Note : T'es Superman ! C'est ça arrête !
- Bosco : Aide-moi et je t'aiderai
- C-Note : Mais t'es incapable de faire quoi que ce soit mec !
- Bosco : Et pourquoi ça ?
  
- C-Note : D'abord, t'es complètement à coté de la plaque. Tu piges ? T'es trop loin d'imaginer comment ça se passe.
  
Il se baisse et ramasse un peu de sang qui a coulé sur le trottoir
- C-Note : Tu vois ça ? C'est la seule chose que ces salauds comprennent
- Bosco : Ah ouais ?
Alors qu'est ce que tu vas faire ? T'en occuper toi-même ? Hein ?
 
- C-Note : Ecoute. T'as mis combien de mes gars en tôle ?
- Bosco : ...
- C-Note :
Ouais, exactement ! J'suis toujours là. Le business se porte à merveille. Ta méthode ne fonctionne pas, tu nous fais pas trembler, mec !
- Bosco : Ah oui ? Alors je t'avertis que si tu t'en prends à Big Henry, je serai là pour te faire trembler jusqu'à te foutre en tôle pour de bon ! Tu m'as compris ? Pour de bon !
  

- Au poste, Bosco est assis au bureau quand Yokas entre dans la pièce
- Yokas : Il faut que j'écrive mon rapport
- Bosco : T'inquiète pas, j'me tire !
- Yokas : Bosco !
Bosco sort de la pièce, Yokas le suit
- Yokas : Bosco, est-ce que je peux te parler ?
- Bosco : Qu'est ce qu'il y a ?
 
Ils entrent dans la salle de briefing pour être plus tranquille
-
Yokas : J'étais inquiète pour toi
- Bosco : Tu aurais dû venir m'en parler
- Yokas : J'ai essayé
- Bosco : Quand ça ?
- Yokas : Mais tu veux pas m'écouter quand je te parle !
- Bosco : Alors il suffit que je t'écoute et je ne serai plus fou ?
- Yokas : Je n'ai jamais dit que tu étais fou
- Bosco : Un médecin m'a dit que tu avais déclaré que je traversais une mauvaise passe
- Yokas : Oui, je crois que ça serait une bonne idée que tu parles à quelqu'un de tout ce qui a pu se passer
- Bosco : Qu'est ce qui s'est passé ?
-
Yokas : Tu es sérieux ?!
- Bosco : Oui !! Qu'est ce qui s'est passé exactement Faith ??
  
- Yokas : Le 11 septembre
- Bosco : Mmh
- Yokas : Ensuite, le viol de cette gamine
- Bosco : Ouais ...
- Yokas : Les problèmes avec ton père ... ton frère sous les verrous ... on t'a tiré dessus ... Hobart ...
- Bosco : Et alors je peux pas gérer ça tout seul ??
- Yokas : Non, je ne crois pas que tu puisses gérer ça tout seul, c'est trop difficile
  
- Bosco : Tu sais que j'étais pas tout seul avant que tu fasses ça ?
- Yokas : ...
  
- Ross : J'ai terminé
- Bosco : Ouais, moi aussi !
- Yokas : ...


- A l'hôpital, Sergeï se réveille
- Sergeï : Je peux savoir ce que tu fais ici ?
-
Sully : Ta mère est allée prendre un café
- Sergeï : J'ai très soif
- Sully : Je veux savoir qui t'a fait ça
- Sergeï : Laisse tomber
- Sully : Qui est-ce ?
- Sergeï : J'ai très soif
- Sully : Je ne crois pas que tu puisses prendre quoi que ce soit. ... Sergeï, il faut me dire qui t'a frappé
- Sergeï : Pourquoi ?
- Sully : Pour les faire enfermer
- Sergeï : Tu penses que ça pourrait t'aider à te taper ma mère ?
- Sully : Quoi ?!
- Sergeï : Toute ma vie, ça a été la même chose. Ils veulent être avec elle et ils me demandent de me casser. Tu sais combien de mecs elle a eu ? Vous êtes bien tous pareils. La seule différence c'est qu'elle a obtenu le mariage
- Sully : Obtenu ?!
- Sergeï : Oh non désolé, c'est le grand Amour !
- Sully : Je ne t'ai jamais demandé de t'en aller
- Sergeï : Tu m'as pas demandé de rester
- Sully : Mais tu habites chez son cousin
- Sergeï : Pour aller dans une bonne école, c'est ça ?
- Sully : C'est pas le cas ?
- Sergeï : Je vis avec des copains
- Sully : Des copains ? Où ça ? ... Sergeï, je veux savoir qui t'a fait ça
- Sergeï :
Tu veux vraiment rencontrer Monsieur Fyodor Chevchenko ? Monsieur l'officier de police NewYorkais ?
  

- Le Sgt Markham forme une équipe pour faire une descente chez Vori Vesakonia
- Guesler : Peut-être que je devrais mettre un de ces casques de combat ?
- Markham : Du calme, ce ne sont pas des Talibans !


- Sully et Davis entrent dans le restaurant où Chevchencko est invité à un mariage.
Bosco et Ross suivent C-Note. Bosco croit qu'il part en guerre contre Big Henry
Yokas et Guesler se dirigent vers l'endroit qu'a indiqué Mr Doleska pour trouver Vori Vesakonia.
  
 
 
Mais les 3 équipes se retrouvent finalement toutes au même endroit : au restaurant de Chevchenko
Davis et Sully sont toujours à l'intérieur alors que C-Note et sa bande se mettent à mitrailler le restaurant sous les yeux de Bosco et Ross
Yokas et Guesler arrivent sur les lieux, en pleine fusillade, et sont obligés de se replier
 
Bosco et Ross, planqués derrière leur voiture, se rendent compte que la bande de C-Note se dirige vers eux. Bosco tente de faire diversion en courant pour rejoindre l'autre coté de la route. Yokas ayant observé la situation, couvre Bosco, tant bien que mal.
 

 
C-Note entre dans le restaurant et continue de mitrailler. Davis, alors couché par terre, se relève et tire sur C-Note qui s'ecroule au sol.
Après quelques minutes, Davis se rend compte qu'il est touché à la jambe.
  
  
  
 

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